Une expérience douloureuse physiquement mais sublime - Histoires de Sexe

Une expérience douloureuse physiquement mais sublime

... bien.

Faire descendre une fermeture éclair avec les dents, pas évident !

Une fois la fermeture éclair ouverte, Paul se lève et c’est plus facile de faire glisser le pantalon et le caleçon. La verge bandée m’explose au visage et c’est avec un sentiment de plénitude que je la prends dans la bouche. Paul très rapidement m’empoigne les cheveux et ce n’est plus moi qui lui fais une fellation, non, une pipe, mais lui qui se sert de ma bouche comme d’un sexe, en clair il me baise par la bouche. Je n’ai pas vu venir l’éjaculation et c’est un torrent de sperme qui m’envahit, sans que je puisse me retirer car c’est très fermement que Paul me maintient et je ne peux pas faire autrement que d’avaler sa production, au risque de m’étouffer. Paul a l’air aux anges et moi, je me dis que ce n’était pas si terrible que ça. Je promets intérieurement de le refaire, malgré le goût particulier de la semence d’homme, non, de Paul car il est hors de question que cela ne soit pas le domaine réservé et exclusif de Paul.

— Bien, mais il se fait tard, on y va.

Après cette déclaration de Pierre, nous sortons. La voiture de Pierre n’est plus là. Est-ce que cela veut dire que son "assistante" nous a quittés ? Moi, cela me convient.

J’ai vraiment froid. Avril ne te découvre pas d’un fil dit le dicton. Je confirme. J’ai froid.

Paul me fait monter à l’arrière et, toujours menottée, Pierre met ma ceinture de sécurité tout en prenant soin de remonter ma nuisette afin qu’elle ne voile rien ...

... du bas de mon ventre. Une fois la ceinture mise, il me met sur les yeux un bandeau comme en donnent les compagnies aériennes pour les longs courriers.

Je suis loin de tout et n’ai aucune idée du lieu de destination.

Assez rapidement, la voiture s’arrête, ma portière s’ouvre alors que je n’ai pas eu l’impression que ni Pierre, ni Paul ne soient descendus de voiture. Une voix … féminine… m’intime l’ordre de descendre. Ce que je fais. Je marche sur une route (?) avec prudence, mes talons m’handicapant, et mon bandeau sur les yeux m’interdisant tout repérage. Puis, ce bandeau m’est retiré et je m’aperçois que je suis sur un parking, aveuglée par plusieurs voitures plein phares, arrêtées en cercle atour de moi. Mes poignets menottés m’exposent encore plus.

Pierre, je devrais dire Maître Pierre, me présente avec un micro, de la manière suivante :

— Madame Dupont-Durant, c’est à dire quelqu’un de tout à fait ordinaire, a décidé de se soumettre aux bons vouloirs de son mari. C’est une bourgeoise un peu coincée qu’il faut décoincer. Elle a refusé l’épreuve du parking car elle avait peur d’être vue. Elle mérite une punition. C’est elle-même qui s’est menottée, mais nous allons lui enlever ces menottes et elle va elle-même vous confirmer qu’elle a mérité une punition. Sa tenue a été conseillée par moi, mais choisie sans contrainte par elle. Messieurs et j’espère Mesdames, elle est à vous. Proposez et c’est moi, et non le mari, qui serai l’arbitre. Soyez imaginatifs, mais ...