Une expérience douloureuse physiquement mais sublime - Histoires de Sexe

Une expérience douloureuse physiquement mais sublime

... nous allons satisfaire ton mari, tout de suite.
— Comment ?
— Dans le sac qui est là, tu trouveras quatre vêtements que tu vas mettre : un string ficelle qui ne couvre presque rien, une nuisette transparente qui ne couvre même pas le haut du string, des escarpins dont les talons font douze centimètres avec lesquels on ne peut pas marcher facilement mais qui font une croupe délicieusement cambrée, un collier de cuir avec un anneau. Tu vas dans ta chambre pour t’habiller, et quand tu reviens, en gage d’allégeance à ton mari tu vas lui faire une pipe "royale". On mettra cela au compte de l’apprentissage. S’il n’est pas satisfait de ta prestation, tes fesses recevront dix coups de martinet, administrés par moi. Emporte le sac avec toi pour choisir les vêtements à ta taille. Pour le string, je te conseille, ou plutôt j’exige, que tu le choisisses au minimum deux tailles inférieures, afin qu’il soit presque impossible à enlever.

Dans ma chambre, je fais un rapide inventaire du sac. Des menottes, des martinets, des fouets, des cravaches, des pinces, des sexes en plastiques ou en ébène d’une taille impressionnante. J’y trouve également les vêtements, tous rouges vifs.

Aucun string n’est à ma taille. Celui que je peux mettre a beaucoup de mal a passer mes cuisses, pourtant je suis mince. Je le sens s’insérer dans mon intimité.

Par contre les nuisettes sont amples, mais totalement transparentes.

Pour ce qui concerne le collier, il n’y en a qu’un seul. Noir, d’au moins ...

... cinq centimètres de hauteur avec des petites pointes à l’intérieur. Dès que je le mets, les petites pointes effilées m’entrent dans la peau, mais c’est supportable. Un peu par provoc, j’essaie les menottes sur mes poignets ramenés dans le dos. Je m’observe dans la glace et je me trouve terriblement sexy, sauf que pour les menottes, je ne me suis pas inquiétée de la clé. C’est donc menottée, les bras dans le dos que je suis revenue dans le salon.

— J’étais sûr que les menottes t’auraient attirées. Eh bien c’est entendu, ce sera menottée que nous irons là où j’avais prévu.

Les propos de Maître Pierre m’inquiètent, mais je suis dans un état second, aussi c’est dans une inconscience parfaite que je lui réponds :

— Tôt ou tard vous les auriez utilisées, alors pourquoi attendre. La pute de service est prête !
— Il me semble que dans l’euphorie du moment tu aies oublié une partie du programme.
— Ah quoi ?
— La pipe de Paul !
— C’est vrai, mais avec mes menottes c’est impossible.
— C’est ton problème. Paul va ôter sa ceinture et ensuite tu te débrouilles. Mais tu dois faire jouir notre ami Paul, et vite.

Paul a défait sa ceinture, ôté le premier bouton de sa braguette et, assis sur le bord du fauteuil, m’attend. Je crois que j’en ai marre de ce jeu, mais je veux montrer que j’assume mes décisions. J’avoue également que je me complais dans ce rôle de femme soumise. Est-ce une révélation de ma personnalité ? Aux psys de le dire, mais au fond de moi je dois dire que j’aime ...