Une expérience douloureuse physiquement mais sublime - Histoires de Sexe

Une expérience douloureuse physiquement mais sublime

... !

Je suis rouge de confusion, mais en même temps je me rends compte que je suis un peu excitée. Je suis toute chose. J’ai un moment d’hésitation tant c’est peu dans mes possibilités, mais je remonte ma jupe (un peu trop serrée) je fais glisser ma culotte jusqu’aux chevilles et rapidement je l’enlève et la pose sur la partie libre du canapé.

— C’est un bon début ! Mais diable achète-toi des dessous plus sexy ! On dirait les dessous d’une nonne !
— Qu’est-ce qui te ferait plaisir ?
— Pour demain soir, nous irons dîner et je veux une femme avec une lingerie d’aujourd’hui, string, bas et porte-jarretelles. Et comme jupe, vingt centimètres de moins !
— Mais je vais avoir l’air d’une fille de mauvaise vie !
— Et alors, si j’en ai envie ? Je ne te demande pas d’être comme ça dans la vie courante, mais dans mes jeux et si tu y prends goût, dans NOS jeux ! Sommes-nous d’accord ?
— … Oui.
— Pour ce soir, il faut que je réfléchisse à ta métamorphose et j’ai besoin d’aller prendre l’air.
— Veux-tu que je vienne avec toi ?
— Non, je vais aller me faire faire une gâterie au bois de Boulogne, tes propos m’ont un peu excité, et il faut que je décompresse.

J’ai toujours eu horreur des fellations et ce n’est que très très rarement que j’ai donné satisfaction à Paul de cette manière et encore en refusant d’aller au bout de la chose. Je ne sais pas ce qui m’a pris, je lui ai proposé de lui faire cette gâterie moi-même, en précisant "une vraie jusqu’au bout".

— Si tu veux, ...

... mais en forêt. J’aime la nature, j’aime les lieux insolites, j’aime le risque d’être surpris. Alors ? Partante ?
— Pour être franche, non. Mais pour être en accord avec ce que je t’ai dit : Oui !
— Alors, mets-toi en tenue !
— C’est-à-dire ?
— Disons que pour une première fois tu restes comme tu es, et tu retireras tes vêtements quand je te le dirai.
— Je reste sans …
— Sans quoi ?
— Sans ma culotte ?
— Pourquoi ? Elle te manque ?
— Euh … Non mais je voulais savoir ce que toi tu voulais.
— Et bien, pour moi c’est sans.

Nous avons pris la voiture de Paul et, contrairement à ce que je pensais, nous ne sommes pas allés en forêt tout de suite. Il est allé au Bois de Boulogne et nous avons été pris dans une circulation que je ne pouvais pas imaginer à presque 23 heures. Paul conduisait lentement et s’arrêtait à chaque fois que des filles s’exhibaient et montraient leurs charmes. L’une d’elles était légèrement en retrait et était complètement nue à l’exception d’un minuscule string rouge vif. Paul s’est arrêté et m’a montré la fille en me disant que ça c’était ce qu’il aimait. La beauté et la vulgarité en prime. Puis il a fait un signe à la fille qui après un moment d’hésitation est venue jusqu’à la voiture.

— C’est combien pour une pipe ?
— Je ne fais pas les couples.
— Non bien sûr ! Mais pour moi. Combien ?
— 50 Euros.
— Et si je veux tes fesses ?
— 200.
— Et si en plus je veux rougir tes fesses avec mon ceinturon ?
— Non.
— Combien ?
— C’est cher !
— ...