1. Cadeau d'anniversaire


    Datte: 25/07/2021, Catégories: fh, ff, ffh, couple, extraoffre, copains, fsoumise, hdomine, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fsodo, attache, baillon, Auteur: Spqrxxi, Source: Revebebe

    ... nous a fallu près de quarante minutes pour arriver chez elle.
    
    — Pas le temps de faire de longs discours, il va rentrer vers six heures, on a juste le temps ; viens, suis-moi à la salle de bains.
    
    Elle avait deux cartes d’anniversaire et des marqueurs sur sa commode, avec un tissu fin pour faire collier. Elle m’en tendit l’une, attrapa l’autre.
    
    — À toi d’écrire dans celle-là.
    — Que veux tu que j’écrive ?
    — Écris : – je commençai à écrire chaque mot alors qu’elle me dictait la phrase –Philippe, je suis ton cadeau d’anniversaire. Use de moi comme il te plaira. Je suis ton esclave pour la soirée. Joyeux anniversaire, Aurore.
    
    Je regardai ce que je venais d’écrire et je ne le croyais pas moi-même. J’avais une boule de feu dans les entrailles, et je sentis que je commençai à mouiller de désir alors même que ma peur grandissait.
    
    — Waou ! Je n’arrive pas à croire que je viens d’écrire cela !
    — Tu peux encore abandonner, tu sais. Il n’est pas trop tard. Mais décide vite, car dans une minute…
    
    Elle avait toutes sortes de cordes et autres ustensiles à la main.
    
    — Non, j’en suis, je suis juste un peu nerveuse, c’est tout.
    — Parfait. Déshabille-toi.
    
    Elle m’entraina dans la chambre.
    
    — Garde ton soutien-gorge et ta culotte, c’est tout, cela lui plaira de les enlever lui-même.
    
    Elle faisait de même pendant que je m’affairais. Puis elle ouvrit un tiroir et me tendit un soutien-gorge à enfiler à la place du mien.
    
    — Mets celui-là, il devrait t’aller. Il est sans ...
    ... bretelles. Comme ça il peut te l’enlever sans te détacher.
    
    Je me rendis compte que le sien l’était aussi.
    
    — Tourne-toi, très bien.
    
    Elle attacha mes mains solidement derrière mon dos, me fit asseoir au bord du lit, puis se mit à genoux, le visage à quelques centimètres de ma jambe, avant de m’attacher les chevilles. Enfin elle se leva avant de se saisir d’un objet que je ne pouvais identifier : en cuir avec une boule de couleur.
    
    — Qu’est-ce que c’est ?
    — Ça ? C’est pour que tu ne poses plus de questions, dit-elle avec un grand sourire. En fait c’est un bâillon pour que tu ne parles plus du tout.
    — Est-ce que je peux te poser une question avant que tu ne me le mettes ?
    
    Elle me répondit sur un ton faussement autoritaire :
    
    — Une et une seule.
    — Nous allons être les esclaves de Philippe. Et si… Et s’il veut nous voir… Enfin, et s’il nous demande de nous faire l’amour l’une à l’autre ?
    
    Elle s’approcha de moi, mis son bras autour de moi. Elle positionnait la boucle du bâillon mais je ne m’en rendais pas encore compte.
    
    — Aurore, on est amies depuis très longtemps. C’est une des rares choses que nous n’avons pas faites ensemble. Ouvre la bouche ! – elle introduisit la boule de latex rose dans ma bouche. Ce soir, ce que veux Philippe, il l’aura.
    
    Puis elle serra le bâillon, et je ne pouvais plus rien dire du tout. Je n’aurais pas pu le cracher si je l’avais voulu. Ce truc-là n’était pas qu’un visuel. C’était pour de vrai.
    
    Elle s’en fut écrire sa propre ...
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