1. L'escalier de la luxure...ou comment j'ai découvert que ma femme était une salope ! (9)


    Datte: 24/07/2021, Catégories: Zoophilie, Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... gamahuchage en règle, et sa servilité écœurante, maîtresse Josiane eut un orgasme fantastique, qui permit à la pauvre Cécile de revenir “entre les vivants”.
    
    La laissant récupérer, Josiane regarda son esclave avec un mélange de dédain et d’excitation, et convint que sa dernière petite protégée, "Numéro 10", valait bien les 9 précédentes réunies. Jamais elle n’avait eu une fille à ce point soumise et servile, offerte à tous ses caprices. Se relevant, elle tira sur un bras de Cécile, pour la faire placer debout devant elle. Et d’une main de fer, elle attrapa le triangle de poils blonds, tira dessus, faisant pousser un grand cri à la pauvre Cécile ! Puis, alors que celle-ci essoufflée, et criant en même temps, laissait cette main tirer sur ses poils, sans rien tenter, elle plaqua sa bouche sur ses lèvres, et lui roula un palot de derrière les fagots. Cécile se laissa envahir par cette langue inquisitrice, les lèvres emprisonnées par celles de sa maîtresse, et eut quasiment un mini-orgasme, de par l’intensité du baiser, qui dura bien une minute.
    
    Le souffle encore coupé, Cécile regarda la femme brune de 43 ans, nue, devant elle, et glissa dans un souffle :
    
    ” Maîtresse, je vous aime !
    
    — Je le sais bien, tu es une très bonne esclave, je suis fière de toi. Accepterais-tu d’autres jeux un peu plus pervers ?
    
    — Oui maîtresse, tout ce que vous voudrez ! lança la jeune femme enthousiaste, en un véritable cri du cœur.
    
    — Bien, que dirais-tu de t’occuper de Zeus ?
    
    — ...
    ... Heu... que voulez-vous que je fasse avec lui ? dit Cécile avec un trémolo dans la voix. “
    
    La jeune femme savait bien, que parmi les nombreuses déviances pratiquées par le couple auxquelles elle s’était offerte sans réfléchir, avec son plein consentement, figurait la zoophilie.
    
    Et même si elle avait essayé de se préparer moralement et psychologiquement à cette question, se retrouver au pied du mur la terrifiait un peu. Allait-elle vraiment réussir à accomplir des actes sexuels avec cet animal ? Car elle ne doutait pas que sa maîtresse allait prendre beaucoup de plaisir à la voir se faire défoncer par le vigoureux animal, le cul offert au sexe disproportionné, à quatre pattes dans l’eau de la baignoire, sans défense ! Cette image mentale lui fouetta le désir... avec une petite pointe de peur.
    
    Pour l’habituer à cette idée, sa maîtresse lui avait montré trois vidéos au cours desquelles trois de ses anciennes soumises s’étaient adonnées à ce plaisir un peu particulier.
    
    La première vidéo présentait “Numéro 7”, une très jeune femme de 18 ou 19 ans, très mince, la peau très blanche, avec de très beaux seins. La jeune femme semblait pure et innocente. "Numéro 7", Ingrid dans la vie, n’était autre que l’une des étudiantes de dame Josiane !
    
    Ce qui retenait l’attention, c’était sa blondeur et ses yeux bleus comme la mer du Nord. Certainement d’origine scandinave, elle avait de très longs cheveux soyeux, lui descendant presque sous les fesses, et toujours le sempiternel collier ...
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