1. L'escalier de la luxure...ou comment j'ai découvert que ma femme était une salope ! (9)


    Datte: 24/07/2021, Catégories: Zoophilie, Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... passablement excité, la renifla sous tous les angles. Dame Josiane, passant la cravache sur ses nymphes, en toucha le bout du doigt ; elle était recouverte de cyprine.
    
    Elle demanda l’attention de l’assistance et d’une voix de stentor dit :
    
    “ Regardez mon esclave "Numéro 5" ! Malgré son âge, elle mouille comme une jeune vierge attendant ses noces ! Assistant, libérez la bête ! “
    
    Et alors, le chien rendu fou par les effluves de la femelle humaine, offerte à sa concupiscence, se jeta sur le postérieur de la soumise, et fit pénétrer d’un puissant coup de reins son sexe énorme. La femme eut un grand cri rauque quand elle fut saillie par l’animal, puis cria sa jouissance quand son vagin fut investi, et distendu par le nœud de l’animal. Alors elle ne cessa de gémir, et d’ahaner sous les coups de boutoir de la bête...
    
    A chaque fois qu’elle lui montrait ces vidéos, dame Josiane étudiait les réactions de sa soumise présente, "Numéro 10". Elle lui demandait alors si elle se sentait capable de se retrouver dans ce genre de situation, à la place des femmes, et si cela l’excitait ou la dégoûtait carrément. Cécile mentait à chaque fois, car elle ne voulait pas déplaire à sa maîtresse, mais avait littéralement peur d’être prise par un molosse. Ce n’était pas tellement le fait d’avoir un rapport sexuel contre nature qui la mettait mal à l’aise, mais plutôt, elle avait peur des réactions du chien, sa sauvagerie, le danger potentiel réel qu’il représentait, pour les parties si ...
    ... fragiles de son anatomie.
    
    “Car un chien, c’est aussi une dentition et des crocs. Et si l’animal sentait ma peur ? Comment réagirait-il ? ” Pensait-elle, tétanisée. Pourtant à chaque fois qu’elle avait visionné les vidéos, dame Josiane lui avait passé négligemment la main sur sa vulve, pour en retirer des doigts gluants de cyprine.
    
    “ Ça t’excite, hein, petite salope ? Tu as vu comment elles jouissent toutes, grâce à leur amant canin ? Tu sais, si tu as le moindre doute, tu peux toujours reprendre tes vêtements, prendre la porte et rejoindre ton petit mari, qui se fera sans doute une joie de t’accueillir les bras ouverts... mon crétin de fils sans couilles ! “
    
    Sur ces phrases très douloureuses pour la jeune femme qui avait peur de perdre l’amour et la protection de sa maîtresse, Cécile baissait la tête, et affirmait son désir d’être saillie, et de plaire ainsi à sa maîtresse adorée. Mais en réalité, Cécile avait une tout autre peur.
    
    Depuis qu’elle était tombée dans les griffes du couple maudit, elle expérimentait toutes sortes de nouvelles expériences sexuelles très trash. Et à sa grande surprise, après les doutes et l’accès de morale, qui la faisaient réagir négativement dans un premier temps, à l’idée de connaître telle ou telle chose, elle s‘apercevait qu’elle se laissait envahir par un plaisir morbide et redoutable.
    
    Se faire dominer, humilier, gifler, flageller par sa maîtresse lui apporta très vite des émotions, inimaginables pour elle quelque temps auparavant. ...
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