L'escalier de la luxure...ou comment j'ai découvert que ma femme était une salope ! (9)
Datte: 24/07/2021,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
Alors que Cécile savonnait avec amour le dos de sa maîtresse, elle repensait à tout l’enchaînement de circonstances qui l’avait placée en cet instant, en cet endroit. Elle se retrouvait nue, dans une grande baignoire encastrée, de l’eau jusqu’en haut des cuisses, avec une éponge à la main, et elle lavait sensuellement sa maîtresse, Dame Josiane, qui n’était autre que sa belle-mère, la mère de son mari.
“ Mon Dieu, mais qu’elle est belle... environ un mètre soixante-quinze centimètres, musclée mais svelte, des hanches un peu pleines, mais un ventre plat, une chute de reins magnifique, des seins volumineux sans l’être trop, un bon 90 C. Un grain de peau sublime, et surtout une belle petite chatte, un triangle de poils noirs bien taillés... et ses nymphes ! “ pensait-elle, en admirant le corps désirable de la femme qui la possédait littéralement, et dont elle était tombée amoureuse.
Elle passait l’éponge naturelle gorgée de savon d’Alep, sur ses cuisses, remontait vers son ventre, en passant doucement sur le pubis... et puis insensiblement, sa main était attirée vers l’entrecuisse. Sa maîtresse comprenant le désir de son esclave, et ayant aussi envie d’être masturbée, voire léchée, se plaça à demi couchée sur le dos, les fesses sur la première des marches de la grande conque qui faisait une merveilleuse baignoire d’environ deux mètres de diamètre, encastrée dans le sol, les bras en appui sur le rebord. On aurait pu y faire baigner six personnes facilement... et c’était ...
... exactement le genre de baignades érotiques que le couple Morcel, Josiane et Franck, profs de biologie et d’anatomie à la fac de science de leur petite ville de province, organisait avec leurs amis échangistes...
S’ensuivaient alors de grosses “parties” orgiaques, avec la présence de leur esclave féminine, s’ils en avaient une à ce moment-là !
Dame Josiane écarta largement ses cuisses, les jambes à peine immergées dans l’eau limpide, et délicieusement chaude, et ordonna à son esclave, "Numéro 10", de venir la gamahucher. Cécile ne se le fit pas dire deux fois, et goulûment, enfouit sa tête entre les cuisses offertes, et dévora le sexe de sa maîtresse avec voracité. Par pur sadisme, alors qu’elle bloquait la tête de son esclave dans l’entrebâillement de ses jambes, Josiane se plaça sur la deuxième marche de la baignoire encastrée, elle se retrouva de l’eau au niveau des seins.
Cécile avait donc la tête sous l’eau, maintenue fermement par une poigne d’acier. Courageusement, elle continua son “travail orgasmique”, tandis que l’air commençait à lui manquer. Comptant mentalement, dame Josiane relâcha son étreinte après 30 secondes. C’est une Cécile très essoufflée qui remonta au-dessus de l’eau, happa une grande goulée d’air, pour se voir de nouveau la tête immergée contre le sexe de sa "tortionnaire". Mais de nouveau, elle utilisa sa langue pour pénétrer le vagin de cette dernière. Excitée par le traitement sadique qu’elle faisait subir à son esclave, ainsi que par son ...