Deux bonnes copines
Datte: 24/07/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
gymnastiqu,
école,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pied,
pénétratio,
échange,
lettre,
Auteur: OlivierK, Source: Revebebe
... savamment amertume et ironie grinçante dans ma voix, chaque fois qu’il le fallait…) Tout comme moi et comme tu ne l’ignores pas sans doute, Anaïs est une ancienne élève du collège faisant partie de ce groupe scolaire. Elle doit en faire une visite nostalgique. Quand nous étions gamines, par exemple, nous ne pouvions jamais entrer dans la salle de bio sans palper gentiment la main du père Martin, le squelette.
— Il s’appelle Martin, lui aussi ?
— Mais oui. Et nous regardions le creux de son bas-ventre en imaginant des choses… Elle le présente à Sébastien : Père Martin, voici Sébastien. Sébastien, je te présente le père Martin.
— Tu crois vraiment qu’elle lui fait visiter le collège ?
— J’en suis certaine. C’est fascinant, un collège vide, la nuit. Les mamans voulaient que Sébastien reste avec elles, bien sûr, mais il a naturellement préféré suivre Anaïs… Elle lui plaît beaucoup, ta femme. Tu ne l’as jamais remarqué ? Il faut voir les regards qu’ils se lancent, parfois. Elle est tellement jolie, aussi ! Et elle n’est pas insensible à ses manœuvres, j’en suis persuadée… Tiens, elle doit l’emmener maintenant dans la salle d’allemand. Elle cherche la table sur laquelle un garçon a gravé un jour :Anaïs, je voudrais être une larme pour naître dans tes yeux, vivre sur ta joue et mourir sur tes lèvres.
— Anaïs ne m’a jamais dit ça !
— Nous ne sommes pas obligées de tout vous raconter. À cette époque-là, moi aussi j’avais un amoureux mais il ne détériorait pas le mobilier, lui, ...
... il se contentait de m’écrire des billets doux très poétiques.
— Tu penses encore à lui ?
— Bien sûr que non, voyons. Ou alors, pas souvent.
— Tu crois qu’ils sont seuls à visiter le collège ?
— Tu serais jaloux ?
— Mais non ! Je suis sûr qu’Anaïs ne m’a jamais trompé. Et jamais elle ne voudrait piquer le mec d’une copine. (Il devrait réfléchir à deux fois avant d’employer des mots aussi ambigus !)
— Tout est donc pour le mieux dans le meilleur des mondes et c’est en tout bien tout honneur que ton Anaïs entraîne mon Sébastien dans le gymnase. (Encore un brin d’amertume…)
— Dans le gymnase ?
— Mais oui ! Comme ils sont en survêtement, ils font quelques exercices d’assouplissement. Qu’est-ce qu’elle a sous son jogging, Anaïs ?
— Un slip et un soutien-gorge rouges. Elle a pris une douche juste avant de partir.
— Lui aussi, il a pris une douche. Il a mis un boxer noir. Il descendra la fermeture éclair de son haut de survêt s’il a trop chaud. Et il a trop chaud, bien sûr. Il est assez faraud de sa poitrine poilue et de ses belles épaules. Il grimpe à la corde, ça met ses fesses en valeur. Puis il invite Anaïs à l’imiter.
— Elle n’est plus tellement sportive, tu sais…
— Il l’aide au besoin en la soutenant.
— Tu veux dire qu’il lui met la main aux fesses ? (Là, il rigole un peu, ton mec, mais il rentre dans le jeu. Quelle bonne idée tu as eue de me suggérer de parler du gymnase !)
— Exactement.
— Elle ne se laisserait pas faire. (À moitié convaincu, seulement.)
— Elle ...