Deux bonnes copines
Datte: 24/07/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
gymnastiqu,
école,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pied,
pénétratio,
échange,
lettre,
Auteur: OlivierK, Source: Revebebe
... pas de bavasser, ça me gonfle. Et je suis déjà en nuisette. Mais si tu avais envie de venir prendre un verre…
— Tu crois ? Tu veux que je te tienne un peu compagnie ? Oui, c’est une très bonne idée, j’arrive.
Et voilà le travail ! On ne fait pas appel en vain aux bons sentiments de ton petit mari. Et ton idée de le faire venir ici plutôt que moi aller chez vous était frappée au coin du bon sens. Il lui fallut un petit quart d’heure pour faire le trajet, le temps pour moi de prendre une douche et de me mettre effectivement en nuisette. Transparente juste ce qu’il faut, ras du cul, blanc cassé avec un peu de dentelle du Puy autour du décolleté, mignonne comme tout. Je l’avais achetée en rentrant du lycée, il faudra que je te la montre. Et pas de petite culotte, bien sûr ! Quand il a sonné, j’ai quand même enfilé une robe de chambre dont j’ai négligé d’attacher la ceinture mais que je tenais fermée de la main gauche et qui s’est naturellement ouverte quand nous nous sommes gratifiés des quatre bises rituelles. Alors, mine de rien, son premier regard vers mes seins sous la dentelle…
Il avait un jogging noir et des tennis que je ne lui connaissais pas, des Nike, ma chère ! Moi, j’étais pieds nus, bien sûr, j’avais suivi ton conseil. Je lui ai dit de se poser sur le canapé et je lui ai demandé ce qu’il voulait boire, en pensant que sous peu ce serait à ma source blonde si je savais m’y prendre. Nous avons bu un gin tonic. Je lui tournais le dos en faisant le mélange, ...
... because ma robe de chambre entrouverte. Et elle l’est restée tout naturellement quand je lui ai tendu son verre, qu’il a failli laisser choir sur la moquette. Les bulles nous ont chatouillé les narines quand nous avons dit tchin tchin. Mais il ne ferma pas les yeux, tu peux me croire.
J’ai pudiquement noué ma ceinture, il en avait vu assez et il fallait le laisser mariner un peu. Nous avons parlé de ce printemps somptueux, prélude à un été qui, n’en doutons pas, sera grandiose. (Tu te rappelles nos cours d’allemand, bien sûr !). J’étais assise en face de lui, dans le fauteuil. Il regardait mes pieds, quelquefois mes yeux, il est timide et je sais qu’il adore "tes pauvres petits pieds". Alors pourquoi pas les miens, qui les valent bien, comme dit la pub de la mémée Bettencourt ? Il a parlé des chères petites têtes blondes et de cette bonne madame Martin si triste qu’on lui supprime bientôt une classe de maternelle. Puis, me voyant soucieuse et comme je lui avais demandé ce que tu lui avais dit exactement avant de partir, il s’est enfin interrogé sur ce que vous pouviez bien faire tous les deux. Je n’attendais que cela. J’avais réussi à l’inquiéter, c’était un bon début. Il suffisait que je réponde. Une fois encore, tes conseils ont été fort utiles.
— Ce qu’ils font pour le moment ? Eh bien, comme les enfants sont couchés dans la salle de maternelle et qu’il ne manque pas de mamans pour les surveiller, Anaïs et Sébastien sont bien tranquilles, tu peux me croire. (Je dosais ...