1. Deux bonnes copines


    Datte: 24/07/2021, Catégories: fh, extracon, gymnastiqu, école, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pied, pénétratio, échange, lettre, Auteur: OlivierK, Source: Revebebe

    ... ne déteste peut-être pas. Puis elle jouera à saute-mouton sur le cheval d’arçon. Épuisée, elle se couchera en travers, les mains et les pieds touchant presque le sol, le fessier ainsi grandement exalté. Elle a de très jolies fesses, ton Anaïs… Tu reprends un gin tonic ?
    — Avec plaisir.
    — Un peu de musique ? J’ai les CD de jazz édités parLe Monde. Armstrong, ça te va ?
    — Tout à fait.
    
    Bien calée contre le dossier du fauteuil, j’ai ramené mes pieds contre mes cuisses et je les ai pris entre mes mains, les caressant des orteils aux chevilles, sans avoir l’air de me rendre compte, bien sûr, que s’ouvrait ma robe de chambre. Le visage de ton Thomas est devenu rouge mais il a détourné son regard pour ne voir que mes grands yeux innocents. Nous avons alors encore parlé de toi. Le garçon qui avait gravé cette phrase, là, cette phrase sur les larmes, comment était-il ? Et est-ce qu’avec toi… enfin… jusqu’où était-il allé, l’aimais-tu, toi ? Je suis restée évasive. Face à la jalousie, même stupidement rétroactive, les hommes sont partagés entre le dépit et une certaine excitation. Cela nous arrive aussi. Mais voilà que je fais ma cuistre, pardonne-moi. À 22 H 45 environ, Thomas, visiblement tracassé cette fois et ne faisant guère attention à moi, je dois en convenir, m’a demandé si je pensais que vous étiez encore dans la salle de gym.
    
    — Ta femme, qui s’est déchaussée en y entrant, est maintenant suspendue à l’espalier qui est contre le mur du fond. Quand nous étions ...
    ... collégiennes les garçons, ces dadais… mais peu importe ! Anaïs a les cuisses en équerre pour faire travailler ses abdominaux. Comme elle paraît en souffrir un peu, Sébastien la soulage en prenant ses pieds entre ses mains pour lui soutenir les jambes. (Là, il a sursauté et s’est mis à respirer plus vite en pensant à tes chers petits petons !) Maintenant elle a ses pieds, un peu froids quand même, contre la poitrine brûlante de mon mari dont le cœur commence à s’affoler – je le connais, mon Sébastien ! La salle n’est éclairée que par les veilleuses bleues mais il voit quand même que la position d’Anaïs lui soulève les seins, les mettant ainsi grandement en valeur.
    — Oh, sous le blouson du jogging…
    — Elle a beaucoup trop chaud, elle aussi, depuis quelque temps. Elle a sans aucun doute enlevé le haut de son jogging, et peut-être même le bas… Sûrement même qu’ils ont enlevé aussi le bas, tous les deux, pour faire leurs exercices ! Les seins d’Anaïs palpitent sous son soutien-gorge. Une jeune et jolie femme accrochée à un espalier, en sous-vêtements rouges, les bras en l’air, comme attachée, tu vois…
    
    Je me suis dressée, la robe de chambre ouverte, les bras levés, Sainte-Sébastienne en l’attente des flèches. Mes seins fermes sous la dentelle du Puy quasiment transparente et ma nuisette relevée, exposant ainsi mon blond minou qui n’attendait que les lèvres et la langue de ton Thomas pour s’ouvrir comme une rose…
    
    Cela n’a pas suffit ! Il était décidément vertueux, étonnamment fidèle ! ...
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