1. Les minettes du Val de Saône (1)


    Datte: 24/07/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: k_a_r_l, Source: Xstory

    ... mur.
    
    J’ai réfléchi une seconde. C’était une option qui m’allait très bien. Je pourrais la faire travailler, gratuitement, pendant que je bronzerais sur un matelas pneumatique, à la surface de la piscine, avec un cocktail dans la main.
    
    — OK, lui ai-je dit, on va faire ça.
    
    — Quoi donc ?
    
    — Bah tu vas repeindre mon mur. J’ai pas du tout envie de le faire. Et c’est assez clément de ma part, ça devrait être bien moins sympa que ça. Tu as tout ce qu’il te faut ici.
    
    Je lui ai donné tout le matériel dont elle avait besoin, et suis rentré dans la maison en lui souhaitant bonne chance. Quant à moi, je vaquais à mes occupations. En milieu d’après-midi, il faisait vraiment très chaud, et me suis quand même dit que ma nouvelle peintre en bâtiment devait avoir encore plus chaud, et voudrait sûrement boire un truc. Je l’ai retrouvée dehors avec une grande bouteille d’eau glacée, qu’elle a acceptée avec plaisir. Elle avait bien avancé. Il y avait encore beaucoup de travail, mais elle avait été efficace, et avait fait ça bien mieux que je ne l’aurais fait moi-même.
    
    Je me suis surpris à l’observer tandis qu’elle buvait goulûment à la bouteille. Joli brin de fille. Son short en jeans remontaient haut sur ses jambes fines, et laissaient deviner un fessier joliment bombé. Son débardeur, lui, laissait deviner une petite et jolie poitrine. Et il fallait vraiment que j’arrête de la regarder et de la détailler avec autant d’insistance, au risque de passer pour un pervers, que ...
    ... j’étais sûrement un peu de toute manière ! Pour me changer les idées, je lui ai proposé une petite pause cigarette.
    
    On s’est alors assis sur les trois marches menant à l’intérieur de la maison, et j’ai sorti mon paquet, lui en proposant une au passage. Cette petite pause m’a permis d’entamer la conversation.
    
    — Pourquoi vous faites toutes ces conneries ? ai-je demandé.
    
    — J’en sais rien.
    
    — Tu tires au paintball sur des maisons et tu ne sais pas pourquoi ?
    
    — C’est pas moi qui ai tiré, moi si j’étais avec eux, c’était juste pour fumer.
    
    — Et c’est toi qui paies pour leurs conneries du coup.
    
    — C’est pas grave. C’est des potes.
    
    Je n’ai rien su répondre de plus. Ça m’attristait. Elle n’avait pas l’air bête, et plutôt débrouillarde. Je ne comprenais pas vraiment comment elle pouvait traîner avec des gens qui la tirent à ce point vers le bas. Mais ça ne me regardait pas. J’ai fini ma cigarette, et l’ai laissée continuer la peinture.
    
    Bien sûr, elle est partie le soir sans avoir terminé. Mais elle est revenue le lendemain. Et le surlendemain. Et ainsi de suite pendant cinq jours. Et en fin d’après-midi du cinquième jour, elle est venue me trouver alors que j’étais allongé sur un transat, au soleil, au bord de la piscine. Elle avait l’air gênée de me voir, vêtu de rien si ce n’est d’un maillot de bain et d’une paire de lunettes de soleil.
    
    — Je... Hum... Je crois que c’est bon, j’ai fini avec le mur.
    
    — Ah ! Super, merci. Je viendrai voir. Tu veux boire un ...