1. Room service


    Datte: 24/07/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail médical, voyage, amour, Oral pénétratio, Auteur: Vibescu, Source: Revebebe

    ... moyen-âge.
    
    Elle me caresse les épaules, le dos, m’attire encore plus sur elle. J’entends mes « Han » de bûcheron et ses petits cris de plaisir qui rythment mes allers et venues en elle. J’accélère progressivement le rythme, mon sexe glisse presque au dehors du fourreau soyeux qui l’enserre et y replonge avec force jusqu’au fond. Je veux la faire crier de plaisir, qu’elle hurle sa jouissance au monde entier. Mon plaisir monte trop, je m’arrête un peu pour le laisser refluer, nous sommes en sueur.
    
    J’entends comme un écho de nos cris de plaisir, je doute de mes sens, mais non ! On a dû réveiller le couple de la chambre d’à côté qui stimulé par nos bruits non équivoques nous imite. Par contagion, si leurs propres voisins les entendent, d’ici une heure tout l’hôtel sera en train de joyeusement copuler. Caroline entend comme moi, elle pouffe de rire puis me repousse, me fait basculer sur le dos pour se placer au-dessus de moi.
    
    Avant ce soir, je me sentais amoureux virtuel de cette nana, maintenant ça va être très, très dur de ne pas l’être pour de bon. Elle saisit à pleine main mon sexe tendu, fait coulisser plusieurs fois sa main de bas en haut, se penche et me prend dans sa bouche. Je dois être imprégné de son odeur mais ça ne semble pas la gêner, sa bouche monte et descend, ses ongles griffent légèrement la peau de mes testicules.
    
    Je l’arrête comme elle m’a arrêté un peu plus tôt. Je ne veux pas jouir tout de suite. Message reçu, elle arrête sa caresse comme à regret ...
    ... et vient me chevaucher. Elle me reprend dans sa main avec l’intention de me guider en elle. Je ne la laisse pas faire, je prends à nouveau ses poignets et place ses mains sur mon torse, je suis assez raide pour la pénétrer sans être guidé.
    
    Je pousse avec mon bassin, ma verge cherche son chemin, le trouve, Caroline s’empale jusqu’au fond avec un soupir d’aise. C’est maintenant son tour de m’imposer son rythme et ça me va très bien car je la vois encore mieux que quand elle était sous moi, et mes mains peuvent parcourir son corps à loisir.
    
    Je prends ses seins dans mes mains, je les fais se rapprocher l’un de l’autre, ma bouche les enduit de salive, la paume de mes mains vient caresser ses tétons mouillés, les écraser pour mieux les sentir se redresser, défier mes doigts de les torturer délicieusement davantage. Je sens que je peux tout oser, les limites de la pudeur sont franchies.
    
    Je pose mes mains sur son postérieur à qui j’assène quelques claques sonores, j’espère que les voisins m’entendent et ça va leur donner l’idée de recommencer. Elle gémit plus fort mais ne proteste pas, je caresse ses fesses pour me faire pardonner.
    
    D’un coup je la sens modifier sa façon de bouger : elle s’enfonce moins, stimule une zone plus proche de l’entrée sur un rythme plus lent. Je saisis sa main droite, je la porte à mes lèvres pour humecter largement ses doigts de salive avant de les guider entre nos deux ventres, juste à l’orée de son buisson. Elle comprend très bien mon invite, ...
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