1. Room service


    Datte: 24/07/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail médical, voyage, amour, Oral pénétratio, Auteur: Vibescu, Source: Revebebe

    Le TGV parti de la gare Saint-Charles arrive quelques minutes plus tard à la gare TGV d’Aix-en-Provence.
    
    Ouf !
    
    Caroline est sur le quai, pas retenue chez elle par un enfant malade ou quelque autre empêchement. Le billet à la main elle trouve facilement la voiture et sa place, juste en face de moi, duo vis-à-vis, je trouve cette appellation charmante. Je la trouve superbe, en jeans et chemisier à fleurs, les cheveux noués en queue de cheval.
    
    On se fait la bise, elle est fraîche et sent bon. Le train repart, accélère doucement, plus d’arrêt prévu jusqu’à la capitale, une escapade hélas pas amoureuse pour un colloque où nous sommes inscrits tous les deux.
    
    On a décidé de monter ensemble, elle doit redescendre avant moi, dès le dimanche matin. Trois heures ensemble, c’est plus que je n’ai jamais passé avec elle, on ne fait que se croiser à l’hôpital où on bosse.
    
    Je la connais depuis quatre ou cinq ans, on est très proche, on se fait confiance et comme elle est un peu plus jeune que moi elle vient souvent me demander conseil.
    
    Elle bosse à mi-temps pour s’occuper de ses deux enfants. Je vis à Marseille, elle à Aix-en-Provence, elle est mariée, je suis séparé depuis deux ans avec une tendance à papillonner qui fait jaser à l’hôpital, dans lequel on me prête plus de conquêtes que la réalité.
    
    Elle est le prototype de la bourgeoise aixoise, pas ou peu maquillée, peu de bijoux, tennis et piscine pour garder la ligne et la forme. Je la désire, elle le sait, on n’en a ...
    ... jamais parlé, je ne l’ai jamais draguée, pas le genre, mais elle le sait c’est tout.
    
    Il est vrai que je la dévore du regard, surtout ses yeux bleus, fascinants. J’ai mis longtemps à décider leur couleur exacte, et puis un jour j’ai trouvé : ils sont opaline, je me retiens quand on se parle de m’approcher et de plonger dedans.
    
    Elle est blonde, pas naturelle ; elle l’a dit un jour devant moi, mais c’est ce qui va le mieux avec sa peau très blanche. Elle a un joli postérieur rebondi et la taille très fine, ce qui lui fait une chute de reins superbe, des seins pas très gros que j’imagine très fermes. Comme tous les hommes qui aiment les femmes je les regarde, les détaille, j’imagine comment elles sont nues, j’essaie de savoir comment sont leurs seins, leurs fesses, leur toison intime, comment elles l’épilent, juste pour le maillot, maillot brésilien, intégral…
    
    Je ne suis pas tout à fait un expert mais quand une femme est enfin nue devant moi, je ne me suis trompé que rarement. Pour Caroline, j’ai décidé épilation minimum, juste pour que ça ne dépasse pas du maillot, même si les chances de la voir nue sont proches du zéro absolu.
    
    Pas question de la draguer, elle sait très bien remettre n’importe quel mec à sa place. J’ai fini par devenir copain avec elle, on parle beaucoup ensemble, mais elle se ferme si ça dérape un peu.
    
    On a presque trois heures avant d’arriver à Paris, contrairement à mon habitude en train je n’ai pas ouvert mon ordi, ni mis d’écouteurs dans mes ...
«1234...9»