1. Le Chevalier Pervers


    Datte: 23/07/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

    ... château.
    
    Jeanne se tenait très droite devant l'autel, dans une robe blanche, avec une couronne de fleurs. Le vieux curé anonait des stupidités en latin, quand il en vint au questions rituelles, je répondis d'un "oui" ferme tandis que ma promise approuvait du bout des lèvres. Le bourgeois Maurice ne se sentait plus de joie et avait déjà demandé au forgeron de lui fabriquer une enseigne "Maurice et Dendraille" je portais mon surcot de chevalier, aux armes de la famille, trois chauve souris noires sur fond jaune. Je sortais au bras de Jeanne et rejoignis la grange où la table avait été dressée.
    
    La chambre nous accueillit. Je fermais la porte et mis la barre. Jeanne était plaisante, avec la robe de mariée de sa mère et ses fleurs mortes dans les cheveux. Elle tourna ses yeux clairs vers moi. Elle tremblait de terreur.
    
    -Ce n'est pas ce que je souhaitais, commentais-je. Faire de toi une chevalière n'était pas mon projet.
    
    -C'est indigne. Je voulais te voir châtré. Dit elle en reniflant.
    
    -Si ton père n'avait pas été si influent auprès du comte, tu n'aurais même pas pu déposer ta requête. Comme cela, notre seigneur s'évite les frais de l'anoblissement d'un gueux. De toute façon, tu n'as pas plus le choix que moi.
    
    -Mais le sang? S'inquiéta -t'elle. Ma tante ...
    ... veut étendre mon drap dans son pré. Tout le pays verra que je suis un fille perdue.
    
    Je ris. J'ordonnai qu'elle se débarrasse de sa robe nuptiale. L'éclairage était meilleur que la veille. Elle était un peu grasse, mais très désirable. Elle écarta passivement les jambes. Je me dénudais à mon tour et me glissais entre ses jambes. Elle portait un bleu là où la nuit d'avant j'avais posé mon pouce pour écarter ses cuisses. Je n'avais pas à la violer. Elle m'avait juré obéissance. Sa chatte était plus accueillante mais elle demeurait inerte, subissant notre accouplement sans y prendre un part active.
    
    Je me retirais sans conclure.
    
    Je fis trois pas jusqu'à la table et tirais ma dague.
    
    Elle poussa un petit cri de terreur. Je la poussais de la main et me coupais légèrement le bras . Un peu de sang coula sur son intimité et mouilla le drap. Elle éclata en sanglots. Je pressais la main sur la petite plaie et l'écoulement se tarit.
    
    -Voila un pucelage tout neuf. Commentais-je.
    
    Elle m'embrassa tendrement. Je la dirigeais doucement pour la placer à quatre pattes. Elle frémit quand je toquais à sa petite porte. C'était si serré que je ne tenais que quelques mouvements avant de rendre les armes dans son cul bien dompté. Après tout, j'allais peut être me faire au mariage. 
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