1. Le Chevalier Pervers


    Datte: 23/07/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

    ... pas, je vous en supplie, sinon je vais être grosse.
    
    J'hésitais un instant. J'avais vu un garde conduit à l'autel par une bergère qu'il avait engrossé. Je ne tenais pas à me lier à une fille de salle dès mes dix-huit ans. Je sortis mon chibre et la regardais. Du sang tachait le linge qui traînait là. Je lui prit les hanches et la relevais. J'écrasais mes lèvres sur les siennes puis la plaquais à plat ventre sur le plateau de la table. Je me haussais légèrement pour la prendre à la retourne. Elle tremblait. Ses larges fesses frémissaient tandis que je poussais mon gland vers son cul. Elle cria sa douleur alors que je forçais sa poterne de derrière. Je plongeais dans ses entrailles avec férocité. Je profitais de l'incomparable sensation de ce tube étroit crispé. Je pilonnais son fondement avec une sorte de colère, qui culmina par un éclair dans mes reins, et ma semence inondant son orifice secret.
    
    Je me détachais de Jeanne qui se tenait le visage dans les mains. Je regardais mon sexe, sali de sang et de merde.
    
    -Lave ça, gourgandine. Dis-je.
    
    Elle mouilla un coin de son drap et m'essuya soigneusement, en me jetant de fréquents coups d'œil inquiets. Je durcissais de nouveau sous ces maladroites caresses.
    
    -Je ne peux vous contenter, messire, je suis blessée. Dit elle d'une toute petite voix.
    
    Elle commençait à faire aller et venir sa main sur mon sexe. Je n'allais pas me contenter d'une branlette.
    
    -Fous la toi en bouche, ordonnais-je.
    
    Elle pleura de nouveau, ...
    ... mais emboucha mon vit derechef. Arrivé à mon apogée, je lui tins la tête et lui arrosais la gorge. Elle ne put faire autrement que de boire ma liqueur amère. Je me couchais dès mon retour dans ma chambre au château. Ma nuit fut courte.
    
    Je fus conduit dans la salle à manger du comte par deux gardes.
    
    Le comte m'avisa que Jeanne était la fille d'un important bourgeois du bourg, le père Maurice. Le faquin prétendait que j'avais obligé la pauvresse à des actes contre nature et exigeait justice. En ces temps difficiles, il n'était pas souhaitable de devoir nourrir un prisonnier inactif. On castrait donc les violeurs à la tenaille chauffée au rouge. Je regardais le comte. S'il avait pris cette décision, je me serais réveillé dans un cul de basse fosse.
    
    -Tu as quelque chose à dire? Me demanda mon suzerain.
    
    -J'ai fauté, c'est vrai, mais la fille est malvenue de se prétendre rétive. Répondis-je.
    
    C'était la bonne réponse. Je le vis hocher la tête.
    
    -Il n'y a qu'une façon de régler cet incident. Depuis le temps que ce sacré Maurice me scie les côtes avec un anoblissement, la Jeanne pourra lui pondre des petits Dendraille.
    
    -Il me faut l'accord de mon grand père, objectais-je.
    
    -Ton grand père,seul parent survivant, m'a fait ton tuteur. L'affaire est réglée. Cela aura lieu cet après-midi après la messe.
    
    Je ne dis mot. Le grand père vivait dans une ferme à peine plus grande que ma chambre au château et régnait sur une dizaine de dégénérés consanguins à trois lieux du ...