1. Le Chevalier Pervers


    Datte: 23/07/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

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    Je me nomme Xavier Dendraille et je suis de sang noble. Seul mon sang est noble. Un chevalier le devient par l'adoubement mais ne le demeure que par ses actes. J'ai été fait chevalier par le comte d'Angiviller, dans la chapelle de son château. Le comte était une vieille baderne qui régnait sur un petit domaine de paysans stupides. Mon élévation au grade de chevalier aurait due être le sommet de mon existence. Mais le prêtre était ivre, et le comte pressé, car ma cérémonie n'était que le prélude du mariage de son fils. Cela faisait bien d'élever quelques écuyers au niveau supérieur
    
    Au repas, j'étais placé loin de la table d'honneur, à côté de la porte des cuisines et les viandes que l'on me servait avaient déjà été entamées et les meilleurs morceaux manquaient. Je jetais de fréquents coups d'œil sur les formes d'une des serveuses. Elle s'appelait Jeanne et dépannait souvent pour les repas de fête au château, en plus de son travail à l'"auberge du sanglier". Elle portait une robe largement décolletée et ses seins m'excitaient lorsqu'elle se penchait pour m'abreuver en vin. Elle sourit à mes compliments. En fin de soirée, les mariés s'ecplisèrent pour consommer leur mariage, et je quittais aussi la salle. Je ne sais pas danser, le bal allait débuter, et je ne voulais pas me ridiculiser.
    
    Le village était calme, au pied du rempart. Les paysans se foutaient du mariage. La serveuse marchait d'un pas tranquille vers son logis. Elle avait la main sur la porte lorsque je la ...
    ... rattrapais. Elle sursauta devant mon apparition puis se rassura de suite en me reconnaissant.
    
    -Ah, Xavier, vous m'avez fait peur. Dit elle.
    
    J'effaçais son sourire tranquille en lui posant ma dague sur la gorge.
    
    -Entre, catin. Dis-je.
    
    Le vin m'avait chauffé les sangs. Je sentais mon sexe dur se presser sur ma cuisse. Elle entra, me précédant dans sa cuisine. Je la poussais contre la grosse table et relevais ses jupes. Sa jupe, elle ne portait pas de jupon, mais une étoffe de gros de coton. Je la dépouillais de son linge. Elle apparut blanche et laiteuse sous l'éclat de la lune
    
    -Ne me faites pas mal. Gémit elle.
    
    Je ricanais et poussais mon genou entre ses cuisses. Je détachais le devant de mes chausses et ma bite jaillit comme un ressort. Elle avait le con fourni, et je battais mon briquet pour allumer la chandelle. La lueur dorée projetait un éclat faible mais je discernais mieux sa chatte fermée dans la nuit. Ses gros seins montaient et descendaient vite au rythme de sa respiration affolée. Je lui saisis les mamelles sans douceur, étonné par leur tendreté. Elle gémit. Je guidais mon vit vers sa fente et coulissait le long avant d'y entrer. Son cri me surprit, ainsi que la légère résistance que j'avais sentie au milieu. C'était bon. Son corps résistait et je devais à chaque retrait forcer de nouveau mon chemin dans son con rétif. Elle sanglotait, à présent, et murmurait des phrases que je ne saisissais pas. Je me penchais vers ses lèvres.
    
    -Ne me remplissez ...
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