1. Corinne à poil (mais pas toute seule)


    Datte: 22/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... figurant dans les bandes dessinées érotiques. Seins agressifs, croupes charnues à raie longue. Véronique se situait dans une catégorie intermédiaire : menue en haut, copieuse en bas. Elle était la seule à avoir conservé un pubis fourni, les autres ayant opté pour un rasage, total ou partiel. Magali était à ranger dans une catégorie à part, plutôt petite mais bien proportionnée avec de la chair bien placée.
    
    La séance de photo commença. La consigne était de ne porter ni montre, ni bijoux, tout juste une alliance. David, aidé de deux éclairagistes, imposa les premières postures et Corinne comprit très vite qu'il s'agirait de photos érotiques. Manuella posa à quatre pattes, ses gros seins pendant en louve romaine devant une photo du Colisée. Véronique exhiba sa chute de reins en plaçant une banane à l'entrée de son anus sur fond de cocotiers. Sandrine regardait l'objectif avec un regard langoureux, un gros cigare entre langue et lèvres avec la gueule de Fidel Castro en arrière-plan. Nathalie posait sa lourde poitrine sur un plateau argenté, comme si elle était serveuse dans un restaurant. Cathy, à plat ventre et cul en l'air, présentait sur fond marin son fessier charnu à l'anus bien ouvert, comme un appel à la sodomie. Magali, parce qu'elle était podologue ?, affichait une curieuse posture : couchée de profil, jambes en l'air en se tenant les pieds, le regard mimant le plaisir sexuel. Seule Mylène, assise en tailleur sur un tatami, présentait l'ombre de son sexe avec plein de ...
    ... faux judokas autour. Corinne passa en dernier, couchée sur le flanc avec des lunettes noires, jambes croisées, une cigarette aux lèvres (alors qu'elle ne fumait pas), très provocante, curieusement chaussée de rollers. Le tout révélait un goût douteux mais explicite. "On a toutes l'air de femmes qui baisent", souffla Corinne à Mylène.
    
    Tout cela prit beaucoup de temps et il faisait nuit quand la séance s'acheva. Un hôtel était réservé pour la troupe car les séances devaient recommencer le lendemain. C'est alors que les poseuses s'aperçurent que dans le salon voisin, une troupe d'hommes quinquagénaires avaient subi les mêmes contraintes photographiques, dans la même "tenue". Plusieurs exclamations saluèrent cette proximité inattendue, des rires fusèrent. Elles croisèrent les hommes qui s'apprêtaient eux aussi à rejoindre leur hôtel. Le dîner des femmes porta donc en grande partie sur ce voisinage inattendu, certaines regrettant que l'hôtel des hommes ne fut pas le même que le leur. D'où cette réflexion de Mylène à l'oreille de Corinne :
    
    - Je ne serais pas surprise que ça baise dès demain.
    
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    C'est donc une petite troupe féminine passablement émoustillée qui se présenta le lendemain pour une nouvelle séance de photos. Entre les poses, toutes allaient jeter un coup d'oeil dans le salon voisin et comme les hommes procédaient de même, les rencontres se multiplièrent, d'autant plus excitantes que tout le monde était aussi nu qu'on peut l'être. Au départ circonspecte, ...
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