1. Corinne à poil (mais pas toute seule)


    Datte: 22/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... blanchis, fit les présentation. Les deux amies découvrirent Manuella, une fausse blonde aux formes épanouies, type Marilyn Monroe en plus ronde, pas du tout leur style physique mais enjouée; Cathy, un petit format bien roulé à la chevelure châtain abondante; Véronique, remarquable par sa chute de reins et son visage un peu masculin; Sandrine, une grande perche taille mannequin et enfin Nathalie, de petite taille mais avec une paire de seins phénoménale et un étonnant casque de cheveux prématurément blancs. "Ce ne sont pas des gravures de mode, se dit Corinne, j'espère qu'on est un peu mieux quand même". Le photographe l'avait présentée, ainsi que Mylène, comme "les deux bourges du groupe", ce qui n'était pas complètement faux vu leur look bc-bg. Il expliqua que l'idée était de montrer des femmes ordinaires mais attrayantes sexuellement. Corinne n'était qu'à moitié convaincue par l'ambition mais comme elle estimait profiter de la comparaison, ses réserves furent vite dissipées. Et puis, être à poil était pour elle un réel plaisir. Elle aimait son corps et être nue était pour elle comme se tenir prête en permanence pour l'amour.
    
    *******
    
    Après un déjeuner où tout ce petit monde put faire connaissance, Corinne en sut plus long sur ses compagnes de circonstance. Il s'agissait pour l'essentiel de mères de famille, toujours en couple, légitime ou non, Mylène étant la seule divorcée. L'éventail des professions représentait quasiment toute la société. Outre Corinne, assistante ...
    ... de direction, on y trouvait donc Mylène, élue municipale, Cathy, documentaliste, Nathalie, employée de librairie, Manuella, journaliste, Sandrine, opticienne et Véronique, médecin. La doyenne était une pétulante sexagénaire prénommée Magali, podologue, à peine ridée, parfaitement conservée, dont le corps pouvait filer des complexes à bien des femmes plus jeunes. Il apparut à Corinne que toutes avaient pour point commun le culte de leur corps, le goût de la nudité et aussi en filigrane le besoin ou l'envie de s'affranchir pour un temps de la tutelle masculine. En dévoilant le lendemain leur corps sans complexe, Corinne eut alors la conviction que ces femmes, d'allure si banale, obéissaient en outre à un vieux fantasme en posant nues. En entendant les unes et les autres rigoler et plaisanter, évoquant leur mari resté au bercail pendant qu'elles se baladaient à poil devant des hommes, elle en vint même à la conclusion que si elles pouvaient commettre l'adultère en ces circonstances, elles ne se gêneraient pas. Elle entendit même la grande Sandrine murmurer : "si j'ai l'occasion de baiser pendant ces deux jours, je ne vais pas m'en priver".
    
    Le groupe se scindait en deux catégories. D'un côté, les "tailles mannequin" comme Corinne elle-même, sa copine Mylène et la grande Sandrine. Petits seins, longues jambes et joli petit cul à raie courte. De l'autre, les pulpeuses, telles Cathy, Manuella et Nathalie dont le corps aux formes féminines très accusées fit penser à Corinne à ceux ...
«1234...8»