1. Corinne à poil (mais pas toute seule)


    Datte: 22/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... Corinne se laissa peu à peu gagner par l'atmosphère spéciale du salon des femmes. Les corps nus en position évoquant généralement l'appel au sexe finirent par lui porter sur le cervelet et elle ne tarda pas à être aussi excitée que ses voisines de pose. Certains hommes au ventre plat, aux petites fesses rondes et au costume trois pièces bien fourni, quoiqu'au cuir chevelu souvent dégarni ou grisonnant, passaient une tête de temps à autre et commentaient les postures à haute voix. La réciprocité ne tarda pas et un ballet de corps nus se fit jour au grand dam des photographes qui ne maitrisaient plus grand chose.
    
    On se draguait ouvertement. Une ambiance de stupre envahit les deux salons malgré plusieurs rappels à l'ordre des opérateurs. Du coup, les femmes n'avaient aucun mal à adopter les poses les plus suggestives. C'était à celle qui serait la plus provocante. Si Corinne se tint debout, jambes écartées mais mains jointes sur son sexe, dans un air de défi, d'autres commençaient à dévoiler leur intimité sans que le photographe ne le leur demande. C'était notamment le cas de Mylène qui posa assise, jambes grandes ouvertes, le regard vers le plafond, comme si elle prenait le soleil directement sur la chatte.
    
    Mais en coulisses, les événements se précipitaient.Quelques mannequins mâles draguaient ouvertement leurs voisines. Se distinguaient auprès de notre petit lot féminin : un mulâtre mince et parfaitement conservé, aux cheveux crépus légèrement blanchis, prénommé ...
    ... Alphonse; un costaud très velu aux moustaches en croc, d'une virilité exacerbée, se faisant appeler Max; un adepte du body building outrageusement musclé, prénommé Léopold; un élégant quinqua parfaitement chauve et finement musclé prénommé Damien et qui s'intéressa particulièrement à Corinne; Claudio, un géant à queue de cheval et barbe de sapeur; enfin, Mikaël, un petit mec râblé comme un pilier de rugby doté d'une queue lui battant les cuisses (justifiant ainsi le terme argotique), ce qui provoquait en coulisses des commentaires salaces des femmes. Comme dans l'autre groupe, il y avait bien deux catégories : les minces, longilignes et plutôt élégants d'un côté, les costauds à la virilité ostentatoire de l'autre.
    
    Dès lors, les événements se précipitèrent. Alors que Corinne se rendait aux toilettes, elle tomba sur Sandrine accroupie devant Léopold qui se faisait tailler une pipe dans les règles de l'art. Sandrine adressa à Corinne un clin d'oeil sans s'interrompre.
    
    Certaines femmes manquaient à l'appel pour des photos. Elles revenaient l'air réjoui, ayant visiblement comblé un manque affectif dans un recoin. Mylène fut du nombre et l'avoua à Corinne :
    
    - Voilà, c'est fait, j'ai déjà eu ce que je voulais avec Alphonse. C'était inconfortable mais terriblement jouissif. Tu devrais en faire autant.
    
    Corinne opina. Depuis quelques heures, elle ressentait les symptômes classiques chez elle du manque de bite. Ses seins lui faisaient mal et ses ovaires palpitaient. Elle ne voyait ...
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