1. Les vacances de Maria (1)


    Datte: 21/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... coma agité, elle parlait et si tous les mots qu’elle prononçait n’étaient pas audibles, le prénom qu’elle répétait sans cesse dans un long monologue, lui était de plus en plus net.
    
    — Oh Julien ! Julien… pourquoi m’as-tu fait attendre si longtemps ? Méchant… viens.
    
    Un instant décontenancé par cet appel visiblement destiné à un homme qui ne pouvait plus venir, Arnaud ne pouvait ignorer que la main de sa mère avançait et reculait, toujours agrippée à ce manche qui ne débandait plus. Dans de telles conditions, comment se sortir du crâne cet appel frénétique ? Mais abonder dans le sens de la demande deviendrait sacrilège. Cruel dilemme entre le bien et le mal, bagarre frontale entre corps et ventre d’un même tout. Et lentement, la tentation gagnait du terrain.
    
    La femme, cette mère qui en cet instant n’avait plus rien de commun avec celle qui le choyait petit, cette maman-là, vociférait des insanités troublantes et il ne résistait plus que de plus en plus en faiblement à cet attrait de la chair.
    
    — Tu m’as manqué ! Salaud, donne-moi cette queue que j’aime. Baise-moi, je t’en supplie ! Il y a trop longtemps que j’attends. Viens… viens… tu veux que je te suce ? Tu veux que ce soit moi qui te monte dessus ?
    
    Se rendait-elle compte de ce qu’elle disait ? Dormait-elle encore et son rêve érotique la poussait-il à saisir cette bite qui était là ? Ou bien était-elle vraiment avec son Julien dans sa nuit sombre ? Arnaud en avait mal aux couilles de sentir ses mains ...
    ... s’accrocher à son dard. Elle le tirait vers elle. Et dans l’obscurité toute relative de la nuit, il sentit d’un coup, ce visage qui avançait vers l’écharde tendue. La chaleur de deux lèvres qui engloutissaient sa queue fit frémir le jeune homme.
    
    Trop tard pour reculer, trop tard pour filer, mais en avait-il eu seulement l’idée ? Il se laissait faire comme quand il était gamin. Les gestes étaient différents, mais toujours aussi tendrement câlins. Cette bouche de femme avide de gourmandise, ne l’avait-elle pas si longtemps embrassée ? Combien de fois l’avait-elle embrassé sur les joues, le front et même le bidon ? Oui ! Mais là, il s’agissait d’une autre forme de baiser. D’un de ceux que seuls les grands échangent entre eux. De ceux interdits aux petits.
    
    Puis il avait beau se dire que cette femme qui engloutissait son sexe dans son gosier, c’était la même qui l’avait langé, il ne faisait plus un geste pour l’empêcher d’aller plus loin. Elle grognait, difficile de parler la bouche pleine. Et ses doigts persistaient à branler la tige alors qu’elle léchait le bâton. Et puis merde, une femme serait toujours une femme. Les mains du garçon vaincues venaient elles aussi palper la peau pourtant toujours camouflée par la nuisette. Et les doigts masculins s’incrustaient dans la chevelure comme pour garder sur le lieu des délices, ces lippes entreprenantes.
    
    Les soupirs d’Arnaud emplissaient la pièce, ayant seulement pour écho les râles endiablés de Maria. C’était encore elle, et seulement ...
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