1. Les vacances de Maria (1)


    Datte: 21/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... rêvait ?
    
    Difficile de s’y résoudre d’autant que son songe devait être très suggestif à en juger par ces gémissements doux qu’elle poussait. Alors lorsque la main féminine bien tendre vint sur son torse, le fils oubliait depuis quelques minutes déjà, cette filiation encombrante. Les doigts sur son torse parcouraient des plages qu’elles avaient auparavant déjà palpées alors qu’il était plus jeune, mais pour d’autres raisons, hygiéniques celles-là. Et la température estivale montait encore d’un cran. Les mains de sa mère se faufilaient partout sur son corps que du coup, il regrettait de ne pas avoir emmailloté dans un pyjama.
    
    Ces pattes accompagnaient les petits cris que la femme endormie poussait. Et Arnaud sentait cette érection monumentale qui le gagnait. Un instant il prit le parti de filer, de sortir du pieu où sa mère devenait plus qu’entreprenante. Il se mit à demi assis sur le bord du lit, mais la main qui venait de se refermer sur la tige raide qu’il arborait, n’avait plus rien de maternelle. Comment résister à ce supplice d’une masturbation ? Il entrevoyait avec horreur la lisière d’une fourche, que dans les mouvements désordonnés de son corps, sa mère laissait apparaitre. Son petit déshabillé devenu inutile en montrait bien trop.
    
    Les yeux rivés sur cette tache sombre formée par une touffe drue, Arnaud était tiraillé entre sentiments maternels et envie d’homme. De plus la femme, les paupières closes s’obstinait à faire aller son poignet de haut en bas, sans ...
    ... lâcher la hampe durcie. Et la résistance du jeune homme s’effritait au rythme des oscillations de ce bras qui lui agitait le goupillon. Alors finalement, il abdiqua et lui aussi laissa ses pattes explorer ce corps en sueur. Dans son coma Maria retrouvait les gestes tendres d’un Julien silencieux.
    
    De la bouche entrouverte, elle exhortait son mari à s’aventurer davantage sur ces chemins qu’elle voulait le sentir parcourir. Elle s’accrochait à lui avec cette frénésie que l’envie déchainait, cette passion qui lui enflammait tout le bas-ventre. Et toujours les traits tendus par cette quête d’une concupiscence féroce, elle voulait se rassasier. Alors inlassablement, profondément ancrée dans son rêve, Maria retrouvait des mouvements qu’elle n’avait plus pratiqués depuis… fort longtemps. Bien sûr que le malaise d’Arnaud était palpable, mais comment lutter contre cette furie qui lui communiquait son désir ?
    
    Puis les mains du garçon s’affolaient également. Elles avaient suivi par hasard un chemin qui, recouvert d’une fine sueur les menaient vers deux montagnes aux pics plus sombres. Les soupirs qui s’envolaient de la gorge de Maria n’étaient pas non plus faits pour apaiser les choses. Alors cette étrange peur qui lui nouait les tripes, n’arrivait pas non plus à domestiquer tout à fait son esprit. Il sentait que lentement, bien malgré lui, il succombait à cette envie violente qu’elle provoquait chez lui. Et puis quand l’esprit dérivait… le reste souvent suivait.
    
    Du reste dans son ...
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