1. Une fille aux yeux verts


    Datte: 21/07/2021, Catégories: fh, jeunes, inconnu, hotel, Oral pénétratio, Humour prememois, Auteur: OlivierK, Source: Revebebe

    ... immobile.
    
    — Arrête, Gabriel, arrête !
    — Ne bouge pas ou je t’attache.
    
    Ses yeux s’assombrirent, elle respira plus fort et remua les jambes. Je n’avais pas de quoi l’attacher, et il était trop tôt. Mais je savais que je le ferais un jour, et que je lui parlerais d’Andromède liée nue à un rocher, offerte au monstre devant surgir de la mer.
    
    Je lâchai ses poignets et descendis sur ses petits petons. Hop, un coup de langue sur la plante du pied droit !
    
    — Oh !
    
    Un autre sur la plante du pied gauche.
    
    — Oh !
    
    Mes mains enserraient fermement ses chevilles. Son gros orteil dans ma bouche. Ma langue entre ses orteils. Son silence. Sa poitrine qui se soulève. Les poils luisants de son sexe, bijou rose et noir. Ma bouche dessus pour un interminable baiser. Ma langue qui se glisse.
    
    — Oh !
    
    Les deux mains de Delphine pesaient sur ma nuque. Des spasmes brutaux soulevaient son bassin. Mes lèvres pompèrent son petit clito et je revins en elle très vite, pour la besogner sauvagement.
    
    — Mais tu es fou ! gémit-elle.
    
    Sa tête remuait de droite à gauche et de gauche à droite sur l’oreiller. Elle ne bougeait plus les hanches, se contentant de recevoir, docile, mes puissants coups de boutoir.
    
    — Oh là là… murmura-t-elle en fermant les yeux. Elle venait de jouir encore. Pas moi. Je sortis de son vagin trempé. Je me réservais pour un peu plus tard.
    — Je suis morte ! se plaignit-elle. Jamais, jamais personne…
    
    Mes lèvres sur sa bouche la firent se taire. Elle palpa ma ...
    ... verge et mes couilles.
    
    — Tu n’as pas joui, toi ! Attends, je vais m’en occuper. Tu peux patienter un peu, que je reprenne mes esprits ?
    
    Je baisai ses paupières et léchai la sueur de ses tempes. Le vrai sel de la terre, ai-je pensé.
    
    — Maintenant, c’est moi qui vais te faire l’amour, ne bouge pas, surtout ! m’ordonna-t-elle au bout de quelques minutes.
    
    Ses lèvres picorèrent mes petits tétons.
    
    — J’en envie de te faire mal.
    
    Elle mordit un peu, puis abandonna. Passa les jambes de part de d’autre de ma cuisse, s’écrasant la chatte sur mon genou. La frotta en se laissant glisser vers le bas, les mains palpant délicatement mes couilles et la langue bientôt dardée sur mon méat. Puis elle ouvrit la bouche.
    
    La deuxième porte de son corps. Sa langue s’activait, ses lèvres aussi. Voulait-elle me conduire au plaisir ainsi ? Ses seins se balançaient. J’en saisis les pointes entre pouce et index et je pinçai, mais légèrement. Elle grogna et me pompa plus vigoureusement. Elle sentit très vite que j’allais jouir et releva la tête, gardant les yeux fixés sur mon gland qui palpitait. Et elle s’empala. Puis se souleva, prenant appui sur ses genoux, et se laissa retomber. Et recommença.
    
    — C’est moi qui te fais l’amour. Ah, comme tu me remplis bien ! Tu peux pincer mes seins plus fort.
    
    Ses gémissements s’amplifièrent alors qu’elle se penchait, frémissante, et que sa bouche cherchait la mienne pour tenter d’étouffer un cri qu’elle ne pouvait plus retenir.
    
    — Plus fort ...
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