1. Une fille aux yeux verts


    Datte: 21/07/2021, Catégories: fh, jeunes, inconnu, hotel, Oral pénétratio, Humour prememois, Auteur: OlivierK, Source: Revebebe

    ... route.
    
    Dehors il faisait beau. Le vent avait chassé les nuages. Nous nous tenions par la main et marchions très vite, éperdus de désir l’un pour l’autre. Les porches des vieilles maisons s’ouvraient sur des cours désertes. Des escaliers sombres devaient permettre d’accéder à des caves discrètes. Sous les toits, des greniers pouvaient nous accueillir. Où aller, et très vite ? Au fond de cette impasse aux pavés luisants ? Dans ce couloir ? Dans le bosquet touffu de ce jardin public ? Enfin, de l’autre côté du boulevard, un petit hôtel !
    
    — Deuxième étage, chambre 24, nous dit une femme aux cheveux roux.
    
    Dans l’ascenseur Delphine entrouvrit les lèvres comme pour dire quelque chose mais elle se ravisa. Elle respirait très vite, haletait presque. Elle se mordit l’ongle de l’index. Je ne lui pris pas la bouche, nous n’en étions plus là. La porte à peine refermée, nous étions aussitôt nus et nous nous jetions sur le lit. Elle ouvrit les cuisses et je fus en elle aussitôt. Chez moi. Bien enfoncé, gainé, palpé. Nous étions faits l’un pour l’autre.
    
    Les doigts de Delphine agrippaient mes épaules. Elle voulait que mon thorax vienne écraser ses seins. Puis elle croisa les bras derrière mon dos et remua les hanches. Prenant appui sur mes genoux, je commençai un vigoureux va-et-vient. Son bassin vint à la rencontre du mien. Sans échanger une parole, nous sentions le plaisir monter, monter en nous vers une évidente apothéose.
    
    — Oh, c’est bon, c’est bon ! gémit-elle d’une ...
    ... voix devenue rauque.
    
    Son vagin se contractait autour de mon gland. Longuement, je coulai en elle par de longs jets délicieux. La jouissance nous avait terrassés au même instant.
    
    Je demeurai couché sur elle le temps de reprendre souffle et je basculai sur le côté. Le vert de ses yeux redevenu plus clair, Delphine s’étira et me sourit. Ses mains erraient sur mes épaules, ma poitrine, mon ventre.
    
    — C’est donc ça ! Oh, c’était divin ! Eh bien, je crois que je ne me lasserai jamais de faire l’amour… avec toi. Depuis le temps que je bataillais !
    — Tu bataillais ?
    — Mais oui, les copines grimpaient aux rideaux, d’après ce qu’elles disaient. Mais moi, bernique !
    — Bernique ?
    — J’étais frigide, quoi ! Mais toi, tu m’as débloquée ! Oh, je t’adore !
    
    Elle palpait avec ferveur les instruments de sa passion. J’allais donc très vite être en état de réitérer. Mais auparavant il était bienséant de rendre hommage à ce corps que je venais d’initier au plaisir. Les aréoles de Delphine étaient étroites et roses, ses tétons tout gonflés. Mes lèvres s’y attardèrent, je les tétai goulûment et même les mordillai, ce qui la fit frémir. De la langue, je câlinai son nombril. Elle mit ses deux mains de part et d’autre de mes tempes.
    
    — Chatouilleuse, hein, jolie Delphine ?
    — Énormément.
    
    Je remontai jusqu’à ses aisselles pour les lécher, en regrettant qu’elles fussent rasées de près.
    
    — Tu vas me rendre folle !
    
    Mes mains saisirent ses poignets, la contraignant à demeurer ...
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