1. Salope et patronne


    Datte: 19/05/2018, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... l'allemand que l'anglais. C'est-elle qui mena les débats. Je dois lui concéder qu’elle nous dominait dans ce sujet. Son mari eût été minable à sa place. Le bulgare lui-même était impressionné de ses dons de négociatrice. Il glissa en mon oreille : « Une satanée bonne femme. Quel peut-être son mari ? » Je me gardais de renseigner le bulgare que le mari était en regard un médiocre. Paradoxe de l'existence.
    
    Les heures passant, je voyais la négociation réussir. Je voyais mon bulgare passablement ivre entrain d'inviter la patronne à un séjour à Sofia. Je n'eus pas étonné que dans l'heure suivante il ne la demanda en mariage. Nous étions nous-même entamés. La patronne avait l'esprit moins lucide. Des fous rires la prenaient. Elle en vint au tutoiement avec Dimitri. Ainsi se prénommait notre roi de Sofia. L'un à côté de l'autre, ils se chuchotaient des trucs à l'oreille. Je n'osais imaginer le ballet de leurs pieds sous la table. J'entendis la miss lui confirmer qu'il y avait dessus des chambres.
    
    Ces deux-là en étaient à évoquer coucherie. Le patron du restaurant fort bon ami du collègue, était tout disposé à offrir le lit. Il était peu regardant sur le statut et la vertu des clients. Il n'en savait pas moins que la patronne était mariée. J'ose même croire qu'il savait qui était le mari. La patronne soudain et avec le plus grand sérieux nous asséna qu’elle allait poursuivre la conversation et même que vraisemblablement on allait signer le contrat. Elle voulait passer à la ...
    ... vitesse supérieure. Dimitri confirma qu'ils allaient aboutir. L'un l'autre montèrent avec une bouteille de champagne.
    
    Je commandais à cet égard une autre bouteille de champagne. Nous étions sur le coup de réaliser un exploit : l'affaire du siècle. Je dis à l'ami qu'auquel cas on devrait lui octroyer une bonne prime. Nous supputions de la générosité de nos patrons. Allait-il pour une fois nous renvoyer l'ascenseur ?
    
    J'imaginais le bulgare entrain de foutre par derrière ma patronne. Entre les dents je ne pus m'empêcher de lâcher : « Quelle salope ! » Devais-je me contenter que d'une branlette après qu'elle eût à dessein croisé et décroisé les cuisses et exhibé sa culotte. Elle m'allumait souvent ainsi.
    
    Nous devions patienter que ces deux-là finissent. Une heure s'était écoulée. Je pariais qu’elle allait le ruiner et en peu de temps lui vider les couilles. Ce qui importait fut qu'il signât. Soudain mon téléphone vibra. Dimitri nous ordonnait de monter et le rejoindre. J'eus peur d'un incident et de quelque chose de grave. Nous nous ruâmes à l'étage. Tous deux étaient vivants. Point de malaise ni de v******e répréhensible. La patronne était cependant à poil tout en travers du lit. Dimitri non moins nu, la bite flasque. Il nous montra une bouteille mi pleine.
    
    En fait en bon compagnon, il trouvait bon que nous profitâmes aussi de la salope. Il en avait eu pour son compte. Elle était insatiable. Deux bites en pus ne seraient pas de trop. Penauds nous maqua^mes notre ...