1. Salope et patronne


    Datte: 19/05/2018, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    Nous avions bénéficié durant ces derniers temps de la mansuétude de la patronne. Celle-ci avec son mari nous avaient mené jusqu'alors la vie dure. Je dois convenir que les résultats étaient là. Je pouvais juste déplorer que la courbe des salaires n'ait une courbe analogue à celle du chiffre d’affaires. Nous ravalions notre gronde. La région était peu propice à de bonnes places. Hormis que d'aller chercher à Paris, il était exclu de trouver alentour une comparable situation. Bref nous rongions notre frein. Nous ne pouvions qu'escompter du hasard pour espérer un mieux.
    
    Or le hasard existe et je l'ai rencontré. Il n'est pas faux de dire qu'il peut bien faire les choses. Un collègue s'enquit de lever un gros lièvre. Celui-ci était hors de proportion avec le gibier que nous levions d'habitude. Nous prîmes cela comme une blague ou un mauvais défi. Les patrons goûtèrent peu ce genre d'audace et d'initiative. Le collègue remis de sa folie s'en excusa assurant qu'il réglerait l’affaire en quelques jours. Soit il enfonçait un coin et parvenait à un début de résultat inespéré. Soit il renonçait et capitulait pour de bon. Nous penchions pour la première hypothèse.
    
    Or à notre grande surprise le poisson mordit à l’hameçon. Cependant fort gros il menaçait à tout bout de champ de décrocher et de s'échapper. La patronne prise d’une fièvre soudaine décida qu'il fallait tout jeter en la bataille. Il lui pesait que nous nous résignâmes à du menu fretin jusqu'alors. Cette fois nous ...
    ... jouions dans la cour des grands. Sans doute nous présumions de nos forces. Pourtant il ne lui déplaisait pas de sortir pour une fois de notre mesquine réserve. Elle convainquit son mari de tenter un coup. Nous ne gagnerions que d'être moqués de nos concurrents. Cela valait le coup.
    
    Elle me demanda de prendre part à l'assaut. Le client était une grosse boîte bulgare. Il était patent que leur argent n'était pas trop honnête. On parla plus tard de procédés éhontés de blanchiment d'argent. Ma patronne n'en avait cure. Elle nous serinait assez que le fric n'a pas d'odeur. Le Capitalisme n'a cure de la morale de bénitier. On nous offrait l'opportunité de prendre une part dans un des énormes chantiers sur Sofia. Sur le marché il y avait chinois, allemands et autres. Le commercial avait pris en bonne part notre collègue dans une saoulerie d'occasion.
    
    Ivre il avait promis de faire avec lui. Nous crûmes que dégrisé il allait revenir naturellement sur sa parole. Or il ne lui parut pas hérétique de faire affaire avec une modeste PME française de province. Il proposa que mon collègue vint déjeuner avec son patron flanqué d'autres collaborateurs pour discuter. La patronne se rua dans la brèche décrétant que son mari fut évincé et qu’elle seule en nouvelle Jeanne d'Arc dut procéder à l'assaut dans son armure lumineuse. Il faut donner ce détail qu’elle était jolie femme. A quarante ans elle dégageait une sensualité indéniable.
    
    Je l'avais vu faire. Elle ne dédaignait pas de coucher s'il ...
«1234»