1. Salope et patronne


    Datte: 19/05/2018, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... fallait. Ainsi un matin sur une autoroute un de nos camions fut intercepté par la douane volante. Arrivant derechef sur le lue de l'incident, elle pris à part un fonctionnaire qui paraissait être le meneur des douaniers. De loin la discussion parut vive. Nous fumions résignés nos cigarettes remontant nos cols dans ce froid hiver. Puis peu à peu nous vîmes les deux protagonistes entrer dans un hangar et disparaître. Il était vraisemblable que leur dispute se poursuivait là-bas à l'abri du froid. Cependant le temps parut fort long.
    
    Nous vîmes enfin réapparaître le bonhomme baissant la tête et ayant le teint rouge et le regard hagard. Passant devant nous il signifia que l’affaire était réglée et qu'il fallait laisser tranquille le camion. Nous triomphions. La patronne apparut peu après que la patronne des douanes eût disparu. Elle avait un peu le cheval en bataille. Son visage était aussi empourpré. Nous pensâmes tous la même chose. Elle avec le sourire en coin, nous expliqua qu’elle avait du être des plus persuasives. Nous nous gardâmes de toute allusion déplacée. S'était elle-contentée d’une pipe ?
    
    Je savais qu'elle aimait la queue. Je savais d'un neveu qu'elle avait une nuit à la sortie d'une boîte consenti à une orgie dans sa voiture avec trois gamins. Son mari n'avait cure des frasques de sa dame. Lui-même en l'absence de celle-ci faisait des fois monter des putes dans son bureau. Nous reluquions sa femme en attendant laquelle n'avait de cesse de nous allumer en ...
    ... croisant haut les cuisses lorsqu’elle nous recevait dans son bureau. Personne en l'avait sauté hormis le beau Tonio il y a un an. Un play boy de première et que nous jalousions et détestions.
    
    Le boss l'avait su et l’avait illico licencié. En effet il ne transigeait pas sur ce point que les employés ne devaient absolument pas toucher à sa femme. Celle-ci fut quitte d'une mémorable engueulade. Pour une fois on vit qui était le patron. Trop heureux que le Tonio fut écarté nous gardâmes en l’esprit que madame était une vache sacrée. Par ailleurs sa femme était à contrario félicité quand elle avait recouru à ses charmes pour obtenir un marché. Le boss n'y voyait point contradiction. Les affaires sont les affaires. Elle pensait à ce titre subjuguer notre bulgare.
    
    Le pote avait prévenu let bulgare du charisme de sa patronne. Celui-ci n'en fut pas moins ébloui. Pourtant ce cochon était un familier des prostituées de l'Est. Il savait à quoi s'en tenir sur le chapitre de la chair fraîche mais peut-être trouva-t-il prestigieux cette grande bourgeoise française indubitablement garce dans ses mimiques et ses atours. Celle-ci en effet arborait ce jour-là une jupe fort courte fendu sur le côté laissant assez voir qu’elle portait des bas. Ceux-ci étaient noir et filés. Pour le reste un joli haut et ostensiblement maquillée.
    
    Ricanant je soufflais au pote : «Ton bulgare va croire qu'on a troqué une pute contre une patronne. » La patronne se fit fort de montrer qu’elle maîtrisait tant ...