Une grande professionnelle
Datte: 20/07/2021,
Catégories:
fh,
ff,
jeunes,
médical,
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fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
Masturbation
sm,
confession,
initff,
Auteur: Emilie, Source: Revebebe
... doucement glisser les bretelles de mon soutien-gorge sur mes bras. Je sentais ses doigts trembler. Pas étonnant, depuis le temps qu’elle attendait ça ! Elle descendit lentement ses deux mains dans mon soutien, prit mes seins par dessous et les sortit des bonnets. Dans le miroir, je les voyais, tout pâles sur ma peau bronzée, pointant vers l’avant, fièrement maintenus à l’horizontale par mon soutif.
— Hum… que signifient ces jolis petits tétons tout rouges et tout raides ? Une érection incontrôlée ? Êtes-vous en état de stimulation sexuelle, mademoiselle Émilie ? Je vous rappelle que vous devez tout me dire avec franchise…
— Non, mademoiselle l’infirmière. Ce doit être l’examen, je suis un peu émotive, répondis-je mal assurée.
— Humm… je ne crois pas, j’ai à peine commencé. Je pense plutôt que vous me cachez des choses… je crois que vous êtes beaucoup plus excitée que vous voulez bien le dire. Est-ce que vous mouillez aussi ?
Une fois de plus, je ne m’attendais pas à ça et je ne sus quoi répondre.
— Je vais reformuler ma question. Je ne parle pas de votre culotte bien sûr, puisque vous n’en portez pas. Mais ressentez-vous une humidité particulière au niveau de votre vagin ? Est-ce que vos secrétions génitales, votre cyprine, coule le long de vos lèvres et entre vos cuisses ?
Elle avait un sacré talent pour me déstabiliser.
— Non, non… bredouillais-je.
— Pourtant vous avez l’air si mal à l’aise. Regardez-vous dans la glace.
J’étais passée du rouge au ...
... cramoisi et mes doigts tremblaient.
— Je pense que vous me cachez quelque chose. Je vais devoir vérifier cela.
Elle s’approcha de mon oreille. Je m’attendis au pire.
— À poil, murmura-t-elle. Tu ne gardes que tes chaussures. Ensuite, debout devant la glace, jambes écartées, mains derrière la tête.
Elle savait y faire. Même s’il s’agissait d’un jeu pleinement consenti entre copines, je ne me sentais pas fière du tout. Je dégrafai mon soutien-gorge, ôtai ma mini-jupe et vins me placer devant le miroir. Juchée sur mes chaussures à talon haut avec leurs lanières en cuir qui m’enserraient les chevilles, j’essayais en vain de me donner une contenance. N’importe quelle femme contrainte de se dévêtir en public avait le réflexe de masquer sa poitrine et son ventre avec les mains. Mais la garce ne m’avait même pas laissé cette latitude et m’imposait une position encore plus humiliante, face à un miroir qui me renvoyait sans aucune complaisance mon image. Elle me laissa ainsi quelques instants qui me semblèrent une éternité avant de m’interpeller d’une voix autoritaire :
— Rapprochez-vous beaucoup plus de la glace, mademoiselle Émilie. Je tiens à ce que vous profitiez du spectacle. Et écartez-moi plus les bras et les jambes, s’il vous plait.
Je fis un pas vers l’avant. Ça ne lui suffit pas.
— Il va falloir apprendre à m’obéir, sinon cela risque de vous coûter très cher.
Et je pris une bonne claque sur les fesses qui me fit immédiatement avancer ! Je n’étais maintenant ...