1. Carole, le souvenir d'un job d'été (1)


    Datte: 19/07/2021, Catégories: Lesbienne Auteur: chloe23, Source: Xstory

    ... entièrement nues.
    
    Au bout de quelques minutes, je sentis la main de Carole se poser timidement au bas de mon dos. Elle bougeait à peine. J’étais allongée sur le ventre, et je me suis mise à onduler des hanches pour l’encourager à me caresser les fesses. Et elle s’est enhardie...
    
    Carole était, elle, allongée sur le dos. Je me suis soulevée sur un coude, et j’ai commencé à jouer avec les pointes de ses seins. Immédiatement, elles durcirent et se dressèrent entre mes doigts. Elle se mit à gémir doucement, puis de plus en plus fort, quand ma main descendit sur son ventre. J’observais, rêveuse, sa petite toison rousse, soigneusement taillée en triangle, et elle écarta les cuisses, quand ma main se fit indiscrète.
    
    — Tu mouilles, me fit-elle remarquer, en me rendant ma caresse.
    
    — Vous aussi, je crois, répondis-je, et nous sommes parties dans un éclat de rire.
    
    Nous nous sommes enlacées, et nous avons oublié toute retenue. Nos mains fouillaient nos corps respectifs, nous nous offrions l’une à l‘autre, au soleil, sans pudeur. Et puis, ma bouche est descendue jusqu’entre ses cuisses. J’ai embrassé son petit bouton, je l’ai sucé, aspiré, ma langue a fouillé sa fente, pendant que ses doigts allaient et venaient dans la mienne.
    
    Nous ne retenions plus maintenant nos cris et nos râles de plaisir, jusqu’à un premier orgasme, quasi simultané qui ne nous a pas rassasiées. Et nous nous sommes retrouvées en 69, roulant sur le gravier et dans les herbes folles, ivres de ...
    ... plaisir. Nos chattes coulaient comme des fontaines, et nous buvions notre cyprine, nous saoulant de nos parfums.
    
    J’ai joui encore, sans pouvoir m’arrêter, et je crois que Carole était dans le même état que moi.
    
    Nous avons fini par nous calmer, mais nous sommes restées étendues encore de longues minutes, savourant la chaleur du soleil et la fraîcheur d’une petite brise sur nos corps nus.
    
    Enfin, nous nous sommes relevées pour nous rhabiller. C’est à ce moment-là que Carole a constaté la disparition de son soutien-gorge. Après des recherches sans résultat, elle a dû se rendre à l’évidence: il avait été emporté par le courant... Elle a remis sa robe, avec juste son slip en dessous, et j’ai admiré ses tétons pointant à travers le tissu, sans lui en faire la remarque.
    
    Nous allions nous engager dans le chemin pour rejoindre la voiture, quand nous avons entendu du bruit dans les fourrés. C’est alors que nous avons vu un homme s’enfuir.
    
    — Quelle horreur ! s’écria Carole. C’était un voyeur. Tu crois qu’il nous a vues ?
    
    — J’espère bien, répondis-je en riant. Si c’est ça, nous avons dû lui offrir un beau spectacle !
    
    — C’est tout ce que ça te fait ? Ça ne te gêne pas qu’on te mate, à poil, en train de faire l’amour avec une autre femme ?
    
    — Non, au contraire, ça m’excite.
    
    Il y eut un moment de silence entre nous deux, jusqu’à ce que nous remontions en voiture. Pendant la route, Carole m’a interrogée sur l’exhib. Je lui ai raconté mes expériences dans ce domaine, et le ...