1. Carole, le souvenir d'un job d'été (1)


    Datte: 19/07/2021, Catégories: Lesbienne Auteur: chloe23, Source: Xstory

    ... au bord de la route, et nous avons fait quelques pas dans un petit chemin. J’avais une idée en tête...
    
    Le chemin nous a amenées au bord d’une petite rivière, dans un endroit désert. En marchant, j’avais déboutonné mon chemisier, bien en dessous de ma poitrine, et Carole ne pouvait pas s’empêcher de regarder mes seins à la dérobée.
    
    Arrivée au bord de l’eau, j’ai enlevé mes sandales à talons compensées, et je me suis avancée dans la rivière, jusqu’aux genoux.
    
    — Elle est bonne, dis-je à Carole, bien fraîche. On va se baigner ?
    
    — Tu oublies qu’on n’a pas de maillot, m’a-t-elle répondu, manifestement mal à l’aise.
    
    — Où est le problème, il n’y a personne.
    
    En prononçant ces mots, j’étais sortie de l’eau. Je finis de déboutonner mon chemisier, je le lançai sur les graviers, et je fis la même chose avec ma minijupe et mon string. Carole, incrédule, me regarda entrer nue dans la rivière.
    
    — Vous avez tort de ne pas faire comme moi, c’est vachement agréable, lui dis-je en aspergeant mes seins qui se mirent à pointer.
    
    Carole avait rougi, et ne savait plus ce qu’elle devait faire. Elle enleva ses escarpins, et s’avança dans l’eau jusqu’aux cuisses, en robe.
    
    — Oui, tu as raison, elle est bonne, avoua-t-elle, d’une voix pleine de trouble.
    
    — Alors, pourquoi ne pas vous mettre à l’aise ? Vous êtes en sueur...
    
    Je lui avais dit ça d’une voix plus rauque, en m’approchant d’elle et en mettant mes mains sur ses épaules nues. Sa respiration s’accéléra. Elle était ...
    ... prête à succomber. J’ai baissé les bretelles de sa robe... Elle ne se défendait pas et je me suis enhardie. J’ai passé une main derrière son dos, et j’ai fait glisser la fermeture de sa robe.
    
    Elle portait un soutien-gorge balconnet, masquant à peine les aréoles de ses seins, je fis sauter les crochets, et j’approchai mes lèvres de sa bouche. Elle ferma les yeux, et me laissa l’embrasser. J’avais gagné.
    
    Elle était si troublée qu’elle n’a pas réalisé que son soutien-gorge était tombé dans la rivière, et que le courant l’emportait. Nos bouches étaient soudées l’une à l’autre, et elle répondait maintenant à mes baisers, glissant sa langue dans ma bouche avec des soupirs de volupté. Sans nous désunir, je saisis le bas de la robe pour la faire passer par dessus sa tête, et lancer le vêtement sur le bord.
    
    Maintenant, c’était elle qui me caressait, malaxant mes seins qui venaient écraser les siens. Je sentais leurs pointes se dresser, et ma main descendit sur ses fesses. Elles étaient nues, elles aussi, dévoilées par un tanga rouge très sexy... qui ne tarda pas à rejoindre la robe sur les graviers.
    
    — Vous voyez ? dis-je. C’est bon, n’est-ce pas ?
    
    — Oui, tu avais raison, avoua-t-elle pendant que je l’emmenai au centre de la rivière.
    
    L’eau arrivait à notre taille, et nous avons chahuté plusieurs minutes, comme des gamines, avant de revenir sur la berge. Nous avons étalé nos affaires sur le sol pour nous en faire des tapis de plage, et nous nous sommes séchées au soleil, ...