1. L'apprentie maîtresse


    Datte: 19/07/2021, Catégories: fh, gros(ses), hgode, jeu, yeuxbandés, glaçon, fouetfesse, délire, Humour Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... l’air dans ce bled de la province de profonde alors il n’a pas l’intention de gâcher une soirée qui s’annonce sous les meilleurs auspices même si ce ne sont pas ceux de Baunes.
    
    — Oui, madame ! Le "madame" est venu sur l’inspiration mais en voyant le sourire de satisfaction gourmande qui illumine le visage de la femme, il s’en félicite.
    — Tu as vite compris ! J’aime les hommes très obéissants ! J’aime les humilier ! J’aime qu’ils me supplient.
    
    Elle s’est levée et le domine de toute sa taille et de tout son poids. Un bref instant, il se sent infiniment petit, vulnérable. Se serait-il trompé ? Serait-elle une vraie maîtresse ?
    
    — Tu vas te laver, que dis-je te récurer, te parfumer. Je t’interdis de te masturber après mon départ. Je reviendrai pour neuf heures et tu m’accueilleras entièrement nu, tête baissée et tu devras m’obéir en tout.
    — Oui, madame ! Neuf heures, nu, tête baissée, psalmodie-t-il se retenant de rire.
    — Nous allons voir si tu mérites que je vienne ce soir. Lève-toi. Déshabille-toi.
    
    Il se lève et ôte slip et tee-shirt.
    
    — Maintenant, accompagne-moi sur le palier.
    
    Sans lui laisser le temps de réfléchir, de protester, elle ouvre la porte et sort. Il n’a d’autre ressource que d’obéir. Elle lui tend une main qu’il baise dévotement. D’un geste négligent, elle lui flatte la queue ramollie par la crainte d’être surpris. Par bonheur personne ne descend les escaliers. Bérengère s’attarde. Du moins ses mains. De la flatterie négligente, elles ...
    ... passent à des attouchements plus précis, en toute innocence, décalottent le gland, soupèsent les bourses dont la peau s’est rétractée sous la fraîcheur du couloir. Ou peut-être sous le désir qu’elle lui inspire.
    
    Malgré le risque d’être surpris, Norbert sent son excitation renaître. Son pénis, sous les caresses habiles, se redresse lentement. Les ongles manucurés de l’opulente quadragénaire griffe délicieusement ses testicules. Il oublie où il se trouve s’abandonnant au plaisir qu’elle lui délivre. Les yeux de la femme plantés dans les siens lui intiment une complète passivité. L’occupation à laquelle elle s’adonne sur ses couilles nécessite les deux mains. Chacune enveloppant un testicule, elle frotte les boules l’une contre l’autre provoquant un échauffement à la limite de la douleur. Un bruit dans la cage d’escalier. Le temps qu’il réagisse, elle s’est déjà éclipsée. Seule son parfum rappelle sa présence.
    
    Quelqu’un descend. Ce serait trop bête de se faire surprendre à poil sur son palier. Vite, Norbert regagne son appartement. Juste à temps, il entend des talons pressés claquer devant sa porte. Appuyé contre le chambranle, il reprend ses esprits en se caressant nonchalamment sa bite qui peu à peu retourne à une position de repos. Il se dit qu’il n’a jamais eu de relation S.M., que ce n’a jamais été pour lui un sujet de fantasme. Jamais, il n’a eu envie de jouer à l’esclave. Il est trop sentimental, il aime trop partager. Etrangement devenir pour une soirée l’esclave de ...
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