1. L'apprentie maîtresse


    Datte: 19/07/2021, Catégories: fh, gros(ses), hgode, jeu, yeuxbandés, glaçon, fouetfesse, délire, Humour Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... le dos. Non pas parce qu’elle est plus forte que lui, mais parce qu’il doit, sous peine de péter un câble, absolument se débarrasser du lien qu’il a autour de la bite. Il bande comme un fou et le lien, cisaillant la chair, génère une souffrance insoutenable. Il se laisse rouler sur le côté, arrache son bandeau et tente d’ôter le lien. Macache Bono ma sœur ! Impossible ! Et l’autre, déçue d’être abandonnée qui ramène sa science.
    
    — Espèce de petit con ! Qu’est-ce qui t’as pris ! Tu dois m’obéir ! A genoux et viens me sucer ! Vite ! Vite !
    — Bon Bérengère ! Nous avons bien joué ! dit-il en se redressant de toute sa taille. Mais maintenant, ça suffit ! TU M’ENLEVES CE LIEN IMMEDIATEMENT ! OU JE TE JETTE DEHORS A POIL !
    
    La jeune femme pâlit. L’homme voit dans son regard, un château de sable s’écrouler. Une grosse vague arrive et elle éclate en sanglot. Elle s’empresse de couper le lien en utilisant un petit ciseau à ongles. Ensuite à genoux devant cette bite qui n’a, malgré la douleur, pas débandé:
    
    — Je te demande pardon. Je suis vraiment désolée. Je ne voulais pas te faire de mal ! Je voulais qu’on ait du plaisir ! je croyais que ça te plaisait
    
    Tout en psalmodiant cette litanie, elle couvre la partie suppliciée de petits baisers mouillés, de coups de langues ...
    ... attendris. Plutôt que de se tordre les mains de repentir, elle leur a confié à chacune une boule qu’elles malaxent pour se calmer. Sous ces caresses buccales et manuelles, l’homme sent fondre sa rancœur et durcir sa bite. Cette femme tout à l’heure voulait le dominer, maintenant, elle est à ses pieds, à sa merci. Elle lui paraît si vulnérable, si fragile que les projets de vengeance qu’il avait envisagés tout à l’heure ne lui seyent plus.
    
    Il a envie de la prendre dans ses bras,
    
    de la consoler de ce gros chagrin,
    
    de se perdre dans ses chairs confortables,
    
    d’enfoncer sa queue entre ses fesses de reine,
    
    de perdre sa tête entre ses seins,
    
    de la lécher,
    
    de la boire,
    
    de l’entendre crier son plaisir
    
    et, à la fin, de se déverser en elle.
    
    En clair, bêtement, il la désire à en avoir mal à la queue et aux couilles, pas seulement à cause du lien.
    
    Alors que voulez-vous qu’il fasse, il prend ses mains dans les siennes, la relève l’emmène dans sa chambre, l’allonge sur sa couette et …
    
    Ils font l’amour jusqu’à ce que tous leurs désirs soient rassasiés. Au petit matin, alors que nul ne sait qui du loup ou de la chèvre a gagné, ils s’endorment, paisibles, détendus, dans les bras l’un de l’autre, mais cette partie de l’histoire ne présente guère d’intérêt… 
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