1. L'apprentie maîtresse


    Datte: 19/07/2021, Catégories: fh, gros(ses), hgode, jeu, yeuxbandés, glaçon, fouetfesse, délire, Humour Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    Une première version de ce récit a été mis en ligne sur Vassilia, il y a quelque temps, déjà. Cette version a été grandement retoquée.
    
    Fin d’après midi.
    
    L’homme (nous l’appellerons Norbert), assis à son bureau, est plongé dans les notes prises lors de la réunion qui s’est achevée une demi-heure auparavant. Sitôt de retour’ dans son appartement, il s’est mis à l’aise, tombant pull et jean. En slip et tee-shirt, il sirote un whisky qu’il considère comme mérité. Brun, râblé avec cependant une légère tendance à l’embonpoint qu’il parvient encore à dissimuler, il paraît âgé d’une quarantaine d’années. La rondeur de son visage est atténuée par une barbe poivre et sel bien entretenue.
    
    Alors qu’il allume une cigarette, la sonnette d’entrée retentit.
    
    — Merde ! Encore un démarcheur !
    
    Il n’attend aucune visite. Il n’utilise ce pied à terre seulement lorsque son travail exige qu’il reste sur place plusieurs jours. Il se lève sans hâte et va ouvrir, entrouvrir plutôt, la porte, dissimulant sa semi-nudité derrière le battant.
    
    — Je ne te dérange pas, j’espère !
    
    En face de lui Bérengère, la conseillère en communication, qui a dirigé’ la réunion. Une femme du bon côté de la quarantaine, imposante… plus grande et plus forte que lui. Pas loin du mètre 80 et sans doute plus près des 80 kg que des 50, elle est pourvue d’une poitrine à trois chiffres.
    
    Plusieurs fois lors de ses nuits de solitude, il a déliré sur ce que laisse supposer son abondante chevelure brune. Il ne ...
    ... peut pas dire qu’elle soit jolie mais il se dégage de toute sa personne une sensualité animale. Même en robe de bure, elle resterait un hymne au plaisir, un appel au coït. Elle lui a tapé’ dans l’œil dès la première seconde autant par son physique étonnant et sa manière de l’utiliser que par sa voix mélodieuse qui engendre une vraie émotion. Il l’a beaucoup regardée, matée même… Surtout cette dernière après-midi où le hasard l’a installé en face d’elle. Il pensait l’avoir observée avec discrétion. Il avait si peu osé que, même placé comme il l’était, il n’avait pu se rendre compte si elle portait des bas ou un de ces maudits collants. Sa présence sur le pas de sa porte, présence que rien ne justifie, lui fait se demander s’il l’a été si discret que ça et si c’était bien le hasard qui l’avait assis en face d’elle.
    
    — Mais non, dit-il, l’instant de stupeur passée. Entre donc, mais je ne suis pas très présentable.
    
    Elle entre, l’examine de la tête aux pieds insistant sans vergogne sur certaines parties stratégiques.
    
    — Tu peux rester ainsi, lui dit-elle dans un grand sourire, ça ne me gêne pas… Bien au contraire, le spectacle est charmant.
    
    S’il avait encore des doutes sur ses intentions, ces dernières paroles, le tutoiement soudain et le regard appuyé’ qu’elle porte à la protubérance qui, déforme son slip les dissipent complètement.
    
    Il la guide jusqu’à la pièce que, pompeusement, il nomme salon et qui lui sert de bureau, de pièce de vie et à l’occasion de salle à ...
«1234...11»