1. Minordome


    Datte: 15/07/2021, Catégories: hh, hplusag, hagé, bizarre, campagne, hsoumis, hdomine, humilié(e), cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Oral hsodo, sm, fouetfesse, journal, confession, Gay Auteur: Alexina, Source: Revebebe

    ... cette table en offrande au petit dieu païen qui s’apprête à me sacrifier au rite de la sodomie… Je ne me reconnais pas… ou plutôt, je me découvre autre, hébété, presque abruti, extatique !
    
    Une de ses mains m’agrippe à la hanche d’un geste ferme, tandis que l’autre guide son membre entre les joues de mes fesses en feu. Contre mon anus, je sens venir la tête de son gros gland humide, ce rostre entêté que je connais bien. Je ferme les yeux… et mes sphincters qui, instinctivement, résistent à cet assaut contre nature… Je bande dur, presque malgré moi. Il pousse lentement mais obstinément et, sous la pression, mon fondement cède d’un coup. Je pousse un gémissement de douleur. Je brûle, d’une brûlure familière, qui m’incendie l’arrière-train. Jacques a lui-même gémi, mais de satisfaction. Celle d’avoir vaincu ma résistance et d’avoir pris place au creux de mes reins… Il m’étreint les hanches de ses deux mains, désormais, et m’attire lentement contre lui pour que sa queue entière me pénètre… J’ai l’impression d’être investi par un épieu chauffé à blanc jusqu’au plus profond de moi-même.
    
    Il a, comme à son habitude, une pause lorsqu’il s’est enfoncé en moi ; il ne se met jamais au coït d’emblée. Il patiente. Cela me permet de m’habituer à cette présence incongrue dans mes reins, présence qui irradie l’anus, le fait comme haleter.
    
    Il m’a aussi confié, que cet ART du sodomite lui donne le temps de savourer la sensation si particulière de « posséder », d’avoir vaincu la ...
    ... citadelle du partenaire, d’être dans la place comme un conquérant.
    
    Son ventre est plaqué contre mes fesses. Sa verge tendue m’envahit totalement. Mon anus est resserré autour de sa hampe dans une étreinte palpitante. Je sais qu’il aime sentir les contractions de mes sphincters autour de sa queue… Ses mains dures me tiennent férocement aux hanches m’empêchant tout mouvement de fuite…
    
    Je ferme les yeux, paré à recevoir ses coups de boutoir. Je ne sais à quoi il rêve… nous ne parlons que rarement lorsque nous faisons l’amour. Moi, je réalise, comme à chaque sodomie, qu’un corps étranger, une chair étrangère s’est greffée à ma chair. Rien de plus intime… rien de plus extraordinairement excitant… Je ne suis plus un, nous sommes un, mais bizarrement, je sens qu’il est plus dans ce un.
    
    Vient enfin le moment où il se retire de moi… Je sens glisser son membre, il coulisse onctueusement en un mouvement paisible… il va s’échapper… Non ! Il replonge, ardemment, fouillant mes profondeurs. Le ventre claque contre ma croupe… comme une voile lorsqu’elle empanne. Et, peu à peu, le mouvement de va-et-vient prend son rythme. Les coups de reins du maître se succèdent, sans précipitation, d’abord. Il prend garde de me labourer les reins de toute la longueur de sa verge, il garçonne en puissance, profondément. Chaque élan m’ébranle en avant, me projette contre le rebord de la table… J’ai l’impression d’être un simple fétu malmené par ses bourrasques. Mon propre sexe, un instant débandé par la ...
«1...345...»