Les femmes de la famille Saint-Clair d'Imbault (2) - Histoires de Sexe

Les femmes de la famille Saint-Clair d'Imbault (2)

... Sud elle me demanda d’un air amusé :

As tu déjà pris du plaisir avec ton corps ?

— Non Alix...

— Écoute maman n’est pas là, tu peux tout me dire, à l’école tu n’as jamais rien fait ?

— Pour être franche, peut être une fois..

Je lui racontais ce souvenir avec Justine. Cela l’amusa et me dit en me glissant un baiser dans le cou :

— Dis donc tu as été une fille sage, je vais t’en montrer un peu plus.

En me glissant ces mots elle souleva mon débardeur et me le retira. J’étais un peu gênée d’être dévoilée ainsi aux yeux de ma sœur.

— N’aies pas peur, tu dois être à l’aise avec ton corps, libère toi doucement, tu es sublime ma sœur, tu ne devrais pas avoir honte de ton corps.

Sa bouche s’approcha de moi, ses fines lèvres rehaussées de rouge à lèvres se posèrent doucement sur les miennes. Elle posa la main sur mes fesses et entra sa langue dans ma bouche. Elle était douce et avait un léger goût de menthe, je me laissais aller et fermais les yeux. Je sentais cette chaleur qui montait en moi comme ce soir la avec Justine. J’étais bien dans les bras assurés d’Alix, sa main me malaxait doucement les fesses. Elle se retira pour toucher mes seins à travers mon soutien gorge.

— Je t’aime petite sœur... Je suis un peu jalouse de toi tu as l’air d’avoir de superbes seins. Ils me donnent envie. Mais assez parlé. On va commencer, je vais tout t’apprendre, mais avant montre moi ce que tu sais faire pour te faire plaisir.

Elle se posa sur un fauteuil, et me ...

... mise sur le lit.

— installes toi, et soulève ta jupe, on va commencer.

L’envie était fortement montée en moi et j’obéis à ma sœur . Je soulevai ma jupe et écarta mes jambes devant ma sœur. J’avais la culotte très humide comme la dernière fois et je sentais ce doux liquide à travers ma culotte qui bavait doucement. Ma sœur avait l’air étonnée et elle me regarda avec envie. Pour la première fois je compris que je pouvais donner plaisir à quelqu’un d’autre. Alix avait la bouche à moitié ouverte et les yeux fixés ma culotte imbibée d’envie.

— Romane, tu es parfaite, tu as l’air d’aimer ça car ta culotte en dit long. Continue.

La lumière tamisée par les rideaux rendait l’atmosphère de la chambre d’Alix très chaleureuse. Ma sœur était en face de moi sur un gros fauteuil en tissu bleu. J’avais retiré la couverture de son lit, pour m’installer confortablement sur les draps en percale de coton, si doux sur la peau. Pour le moment j’étais assise, par encore très à l’aise.

— Tu peux te toucher, va y doucement, mais ne t’arrêtes pas.

Sans dire un mot j’allais lui obéir. Je remontai un peu plus ma jupe sur le haut de mes cuisses blanches. Je baissa la tête pour regarder entre mes jambes, la dentelle rose pâle avait un peu viré de couleur sous l’effet de l’excitation. Ma main se posa doucement sur le renflement que formait ma vulve. Ce doux contact me plu, la chaleur et la douceur de mon entrejambe me rassurait. Je commençais a faire quelques mouvements, , mes doigts ...