Un voyage initiatique, une étape qui n'est pas oubliée
Datte: 13/07/2021,
Catégories:
fh,
inconnu,
vacances,
autostop,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
inithf,
Auteur: Ijokpl, Source: Revebebe
... elle crie, se tord, je la serre contre moi je pousse ma queue tout au fond, je l’immobilise, je ne veux pas jouir tout de suite. Que ça dure, c’est si bon.
— Que c’est bon… Je t’ai dit que je suis à toi… je suis toute à toi, tu peux faire de moi ce que tu veux, prends-moi, quand tu veux, même si je dors.
Je la caresse, une de mes mains glisse sur son ventre, mes doigts cherchent, caressent son clitoris. Elle gémit, ronronne. Sa main droite se glisse entre elle et moi, elle m’écarte, sors ma queue de son sexe, la prend. Elle me branle doucement. Elle murmure« Je ne t’ai pas encore tout donné… ». Elle glisse ma queue entre ses fesses, je ne comprends d’abord pas ce qu’elle fait, puis je saisis. À nouveau en face de l’inconnu, sans que je sache pourquoi mon cœur s’emballe. Mon corps sait. Une émotion inconnue me saisit, je tremblerais presque à nouveau. Ma queue durcit encore. Carmen sent tout cela.
— Prends-moi toute, je veux te donner tout.
Mes reins poussent ma queue. Son corps résiste. Elle met ses mains sur mes fesses pour m’encourager. Murmure« plus fort, plus fort ». Je saisis ses hanches, puis ses reins, j’insiste, je pousse ma queue de plus en plus fort… Son cul cède, mon gland pénètre, elle tressaille, gémit, ce n’est pas du plaisir, elle a mal, je sens son corps qui se raidit. Je m’arrête, interdit.
— Continue, doucement, continue, prends-moi comme ça.
Je continue, je pousse. Ma queue s’enfonce lentement. Elle se raidit, encore gémit« Encore, encore ...
... ». Je pousse ma queue, je la prends, ma queue s’enfonce, à moitié entrée. Elle pousse ses fesses vers moi brusquement, gémit encore, plus fort. Puis elle se laisse aller, tout à coup, plus rien ne la retient. Son corps se cambre, semble s’offrir, presque animal ; elle gémit des mots que je n’attendais pas, les crie presque.
— Prends-moi, prends mon cul. Encule-moi !
Je l’encule, jusqu’à sentir mon ventre contre ses fesses, mes couilles contre ses fesses. Son cul me serre. C’est bon, c’est autre chose. Je ne fais que des mouvements brefs. Je ne veux pas la faire souffrir. Elle en rajoute un peu parfois. Ses fesses viennent vers mon ventre. Je pousse ma queue de plus en plus fort. Elle gémit, m’encourage :« encore, encore ! », « plus fort, plus fort ! ». J’obéis, mes reins lui lancent ma queue de plus en plus brutalement, elle-même jette son cul vers moi. Elle crie, je ne sais si c’est de plaisir, de douleur, des deux. Je ne me contrôle plus de toute façon, ce cul qui me serre, dans lequel ma queue s’enfonce de plus en plus facilement, m’excite. Les mains sur ses reins, je « l’encule », le mot seul m’excite, de plus en plus fort. Mon plaisir monte, j’essaie de me retenir. C’est un autre plaisir, animal, brutal, grossier. Je veux son cul, je veux qu’elle sente ma queue, qu’elle la sente grossie, je veux ouvrir son cul. Je la possède. Je crie aussi… Je m’effondre. Je viens de lâcher encore quelques bordées de sperme, tout au fond de son cul. Je mords son épaule. Je laisse ...