1. Un voyage initiatique, une étape qui n'est pas oubliée


    Datte: 13/07/2021, Catégories: fh, inconnu, vacances, autostop, intermast, Oral pénétratio, fsodo, init, inithf, Auteur: Ijokpl, Source: Revebebe

    ... transpiration.
    
    — Nous sommes des animaux, je suis comme une femelle qui a trouvé un jeune mâle, tu es un jeune mâle qui a trouvé une femelle disponible. Profitons-en…
    
    Nous en avons profité, toute la journée.
    
    Le soir tomba, la nuit…
    
    Nous sortîmes dans le parc, dans la nuit. Épuisés, et pas encore rassasiés. Dans l’obscurité quasi absolue, dans le silence de la nuit, elle se laissa tomber sur le gazon, m’attira.
    
    — Une dernière fois, murmura-t-elle.
    
    Ce qui commença comme une tendre étreinte, s’acheva en baise sauvage. Elle m’encourageait, elle réclamait, prenait, et je n’étais pas en reste, je voulais tout, et tout de suite, parce qu’il n’y aurait pas de lendemain. Quand nous nous sommes approchés du paroxysme de nos désirs, je lui demandais de se mettre sur les genoux, elle m’offrit sa croupe. Je regrettais que la nuit soit si noire… Je la repris, ma queue avait une raideur sèche, il n’y avait plus rien à donner, mes couilles étaient vides, mais je la voulais encore. Pour finir, après qu’elle eut joui encore une fois, j’ai eu envie de l’enculer, sans ménagement. Elle gémissait de douleur, et elle m’encourageait. Criait de douleur et de plaisir en même temps. Sous ces encouragements, ces gémissements et ces cris équivoques, je me suis laissé allé. Je l’enculais de toute la force de mes reins. Je ne connaissais pas l’expression, mais je crois qu’on peut dire que je lui défonçais le cul. J’ai joui comme un animal. Je me suis ...
    ... effondré sur elle. Je la serrais contre moi.
    
    — J’aime t’enculer
    — Tu m’as fais mal, et j’ai joui comme une bête.
    
    Elle murmura plus bas :
    
    — Je suis à toi encore pour cette nuit, prends-moi quand tu le veux.
    
    Cette nuit fut troublée. Désirs, regrets anticipés. Orgasmes, caresses.
    
    Quand je me suis réveillé, elle n’était plus dans le lit. Je suis descendu. Elle était à nouveau une femme du monde. Elle me sourit, me conseilla d’aller prendre une douche. Petit déjeuner. Préparation du départ.
    
    Troublé, peiné par cette distance. Elle s’en aperçut.
    
    — Tu es triste, tu crois que je j’ai déjà oublié. Je garderai le souvenir de ces deux jours, tu m’as donné beaucoup, tellement plus que ce que j’avais reçu jusqu’à présent. Tu resteras mon amant. Mais nous ne pouvons pas nous revoir, jamais.
    
    Elle m’embrassa, se rapprocha de moi, et comme je la serrai contre moi, elle murmura à mon oreille :
    
    — Oublie-moi, mais n’oublie pas ce que nous avons vécu, garde-le au fond de toi, comme le secret commun de deux amants séparés, sans espoir de retour.
    
    Je l’ai quittée à Tolède, sur une place, comme j’aurais quitté n’importe quel conducteur qui m’avait fait faire un bout de chemin, une poignée de main…
    
    Je n’ai rien pu dire.
    
    J’entends encore sa voix.
    
    — Adieu, ne nous oublie pas… Mais oublie-moi.
    
    Je suis descendu de la voiture, les yeux tout brouillés, la gorge amère, j’ai regardé la voiture s’éloigner…
    
    Les stops ne se sont pas allumés. 
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