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Une cheffe honorée
Datte: 18/05/2018, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... intérêt il me fallait enfin crever l'abcès. J’avais envie de lui dire mon fait. Que je la méprisais pour son vice et tout ce qu’elle était. Après étais-je résolu de la planter là et de n'y plus revenir. De loin je l'aperçus dans sa courte robe noire la même où elle avait baisé avec Gilles. Elle ne manquait pas d'impudeur. Elle arborait les mêmes bas couleur chair et avait croisé haut sa cuisse dédaigneuse qu'un quidam put lorgner. Décidément c'était plus fort qu'elle. Il fallait qu’elle aguiche. Elle tirait sur une cigarette. Elle était à la fois pâle et plus maquillée que jamais. Elle l'était autant nerveuse que moi. Elle n'avait pas tout son aplomb. Je me plantais là-devant elle. Je lui dis le plus simplement du monde que j’avais hésité de venir. Elle me répondit sur le même ton qu'elle le savait et m'en remerciait. Elle me savait en colère. Elle me dit qu'elle en était désolée. Que nos relations n'avaient été parcourues que de malentendus. Elle voulait tout réparer et ratt****r le temps perdu. Elle me dit de m'asseoir et d'accepter une cigarette. Elle me montrât un couple de pigeons et me dit dans son sourire : « Ces deux- là ont tout compris. Ils ne se prennent pas la tête ». Là nos regards se croisèrent. J'y vis comme un désir innocent. Encouragé, j'adoptais ce ton de confiance et de relative sérénité. Je lui avouais que je la désirais et que tout cela expliquait le caractère agressif de mon comportement. Je n'avais rien de réel à lui reprocher (en cela je ...
... mentais). J’aspirais à présent à des relations plus apaisées entre nous. Bref il était occasion de faire la paix et de devenir amis voire davantage. Nos regards à nouveau se pénétrèrent. Le désir affluait et nous envahissait. Elle se leva et m'intima de la suivre peu loin. Là elle s'appuya contre un tronc d'arbre noueux et se laissa embrasser. Tout était désert alentour. Nos baisers devinrent fougueux. Ma main s'employa à s'immiscer sous sa robe et à lui pétrir le sexe que je percevais mouillé au travers de la culotte. J'étais sans égards et la prenait tel une fille. Je me souvenais avec rage que Gilles et d'autres l'avaient obtenu à peu de frais. Pouvais-je être dupe de toute sa bienveillance à mon égard ? Elle ne voulait que se faire sauter et m'ajouter à son tableau de chasse. De toute façon j'acceptais sa comédie et était résolu à y prendre ma part. La posséder au réel m'était devenu une obsession. Je le lui dis sans ambages. Aussi l'invitais-je chez moi dès ce soir-là. Elle n'avait que deux heures de disponible. Elle devait aller à une sorte de vernissage après avec son mari. Je n'avais jamais considéré qu'elle pouvait avoir un mari et une vie familiale en dehors du bureau. J'imaginais mal ce mari cocu. Les cornes devaient fleurir voire ressembler à une forêt sur le front de celui-ci. Elle voulut baiser dans mon lit. Elle était avide de maints détails dans mon appartement. Elle me l'avoua sans détours. « Je suis flatté de te découvrir dans ton antre. » Elle fut quasi ...