1. Une cheffe honorée


    Datte: 18/05/2018, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    Je n'avais été rien moins que convoqué. La sagesse me préconisait de ne pas honorer ce rendez-vous. Il faut répondre au mépris par la même monnaie. Cela avait trop duré. Je me lassais de ce jeu, de cette mesquine guérilla. Il fallait tourner la page et aspirer à un plus grand air. Le grand général qu'était Napoléon n'avait pas dédaigné de dire qu'en amour, la plus grande des victoires était la fuite. Je souscrivais volontiers à ce lâche adage. Je méditais de sauter par la fenêtre avec armes et bagages. De toute façon il y aurait peu de témoins de ma déroute. J'en survivrais très largement.
    
    Pourtant tout avait commencé sous d'heureux auspices. On ne se méfie jamais assez. Les apparences sont là pour nous endormir et nous tromper. Notre fat amour-propre faisant le reste on fait soi-même le lit de son enfermement. Je ne sais pas dire non au sourire d'une jolie femme. J'étais d'autant flatté que j'avais perçu celle-ci redoutable. Ce beau challenge m'animait. Il était inconcevable que je me défile. La témérité l'a souvent emporté chez moi. J'y ai ruiné ma vie. Je suis une proie facile. Toutes les garces me devinent. Je suis pour elles terrain de jeu et d'élection.
    
    Elle était ma supérieure hiérarchique directe. Ce genre de sujétion ne m'importunait pas. Bien au contraire dirais-je. Notre unité rassemblait une dizaine de personnes également répartie en mâles et femelles. J'étais du haut de mes trente ans le plus jeune. Le plus logique eût été que je jetas mon dévolu sur ...
    ... Amandine, un joli minois de vingt-deux ans d'autant qu'il semblât sans forfanterie que je lui plaisais. Par jeu et peut-être par nécessité nous sortîmes et couchâmes ensemble, un soir. Ce fut banal et fort ennuyeux. Il me fut confirmé qu'elle se vautrait dans un rôle d'actrice appris et désuet.
    
    Par un étrange miracle, il parut que ma supérieure en fut informée. Il était inconcevable qu’une coucherie échappât à son radar général. Ceci me refroidit. Je ne goûte pas ce genre de publicité. Le baisodrome ou la partouze n'ont jamais été dans mes cordes. Je battis froid à la pauvre Amandine. En effet je la soupçonnais de s'être vantée de notre sortie. Bientôt eus-je confirmation de la désapprobation de la cheffe. Visant un jour une de mes instructions, elle dit à peu près : « Vous cédez à trop de facilités. Je trouve dommage que vous ne vous soyez pas essayé à plus d'ambition ».
    
    Ce jour-là nous étions vis-à vis dans son bureau. La fenêtre était ouverte. C'était les dernières chaleurs de septembre. Je notais qu'elle portait déjà ses bas de chair et dont il était loisible d'admirer sur le haut, leur trait naissant car elle avait pour habitude d'arborer des robes courtes. Elle ne se gênait pas pour moi, croisant et décroisant ses cuisses tandis que nous échangions. J'étais notamment fasciné par son pied qu'elle extirpait sans gêne de l'escarpin et avec lequel elle jouait. Réprimant mon intérêt pour la chose, elle semblait s'en amuser. Elle m’offrit ce jour-là le grand jeu.
    
    Je savais ...
«1234...»