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Une cheffe honorée
Datte: 18/05/2018, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... fascination qu'exerce le satyre sur les femelles et dont nous entretiennent tant les anciens que la fable antique. Il dissipait ma niaiserie et mes derniers relents de romantisme. Quand il me parlait d'une telle que je croyais épouse digne et incorruptible, je ne voulais point y croire. Encore que je n'excluais qu'il pouvait en partie se vanter. Le mâle est ainsi. Il ne peut s'empêcher de gonfler ses mérites. Quoiqu'il en soit et je l'avoue honteusement, je ne dédaignais pas à ce qu'il m'invitât à mâter un peu de ses exploits aux tréfonds obscurs du parking. Aussi ce jour-là ne vins-je pas à me méfier lorsqu'il me parlât d'une familière et notoire salope qu'il allait honorer en début d'après-midi. Munie d'un zeste de sandwich et d'une bière, je m'était calé bien au fond de ma voiture que j'avais garé peu loin de la Renault Espace. Des fois avais-je même poussé le vice à filmer un peu bien qu'on ne vit pas grand-chose mais j'aimais à partager ces débiles témoignages avec le héros concerné. Que ne fut ma surprise après que retentit de loin le claquement caractéristique du talon féminin sur le sol, de découvrir qu'il s'agissait bien de ma supérieure. Affublée d'une robe courte et noire avec dessus un gilet, elle cachait ses yeux derrière des lunettes de soleil bien qu'il fit fort sombre dans le parking. Je trouvais un peu ridicule cette façon dont elle voulut assurer son anonymat. Gilles de loin et encore enfoncé dans son cagibi, actionnât le déverrouillage des portes du ...
... Renault. La garce s'y installât flegmatiquement. Il était trop tard pour que je fuis bien que j'y eus songé. Le temps me parut long. Elle tirait sur une cigarette tandis que Gilles achevait benoît une conversation au téléphone. Enfin de sa démarche de plouc il vint à nous. Éberlué j'eus idée un instant de ne pas voir et de m'enfoncer tout au bas de mon siège. Puis devant le silence singulier ce fut plus fort que moi, je voulus m'assurer que quelque chose se passait. D'abord je ne vis grand-chose. Ainsi il fallait se familiariser avec cette pénombre, l’œil gagnant peu à peu en acuité. Je compris qu'elle dont je ne voyais que le sommet du crâne, était en train de sucer fort ardemment. Le pauvre Gilles avait la bouche ouverte cherchant quelque part une oxygène rare. On eût pu croire qu'il allait défaillir et qu'il fallait venir à son secours. La garce avait la pipe redoutable. Enfin il y eût un terme. Il semble que ce fut elle qui sifflât la fin de la récréation ou des préliminaires pour passer aux choses les plus sérieuses. L'un l'autre installés sur le siège arrière, ils adoptaient la posture classique de levrette. Heureusement ils me tournaient le dos. Je voyais Gilles bourrant la croupe de la coquine. Il ne montrait nul égard. Jamais je ne l'avais vu si sauvage dans ses ruades. On eût dit qu'il voulait punir et se venger sur la garce. Elle semblait apprécier le viril traitement. Manifestement il avait accès à l'autre trou et l'enculait sans autre forme de procès. Je ...