1. Une cheffe honorée


    Datte: 18/05/2018, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... sa réputation de mangeuse d'hommes. J'eus voulu savoir si la réalité rejoignait la légende. Ne prête-ton pas qu'aux riches ? Peut-être n'était-elle pas la garce dont on l'accusait et notamment les autres femmes. J'ai toujours donné la parole à la défense. En même temps le secret de sa personne me fascinait. Je la concevais plutôt malheureuse. N'était-elle que vouée au sexe et au pouvoir dans son travail ? Elle dut lire mes conjectures dans mon regard inquiet. Elle me demanda si j'avais un problème et voulais lui parler. Jamais nous ne fûmes si proches qu'à ce moment-là.
    
    Il y eût alors un silence. La métaphore du temps suspendu n'eût pas été usurpée. Nous étions l'un l'autre manifestement ailleurs. Je me souviens qu'elle avait machinalement glissé une main dans son corsage s’apprêtant à se caresser le sein. Elle écartait en même temps ses cuisses après qu'elle eût reculé son fauteuil du bureau. Allait-elle me montrer ostensiblement sa culotte voire se caresser son sexe devant moi ? En tout cas je n'avais que d'yeux pour son pied auquel elle imprimait le balancement significatif du dangling et qui jouait à m’envoûter à la façon d'un gros serpent.
    
    Je pense qu'elle serait allée jusqu'au bout et que nous aurions versé dans cette dimension fatale si à cet instant ne retentit la sonnerie du téléphone. Ahuris nous nous réveillâmes de notre songe. A l'autre bout du fil, je sus qu'un directeur la convoquait d'urgence. Elle bafouilla de confusion comme si ce directeur avait eu ...
    ... vent de ce qui se tramait dans le bureau ce qui était peu vraisemblable. Moi-même j'étais près de croire que nous avions été dénoncés. Balbutiant à mon tour je pris la poudre d'escampette. On eût dit un voleur. J'ent****rçus dans son regard comme une lueur de reproche.
    
    Pour le coup elle me fit la gueule au long de la semaine. Elle m'avait cependant excité. Il n'y avait pas de nuit où je ne songeais à elle et à ses sensuels appâts. Toute prévention s'était envolée. Trivialement je voulais la sauter. Puis il y eût cet incident et le terme ici est un peu faible. J'étais copain avec le gardien du parking, mon ami Gilles, corrézien authentique de terroir. En catimini il m'offrait volontiers quelques solides apéros dans son cagibi. Il colportait tous les cancans de l’immeuble. Il savait qui couchait avec qui. Un vrai concierge. Avec lui je ne m'ennuyais pas.
    
    Lui-même s'attribuait quelques bonnes fortunes. Pourtant il n'avait rien d'Apollon. Sexagénaire tout chenu et ventru, je ne voyais pas trop le type de donzelle qu'il put att****r. Il se vantait d'avoir le membre proéminent et dont la réputation était venue jusqu'aux oreilles de toutes les garces. Elles voulaient y goûter et souvent y revenir. Je ne voulus pas au début y croire. Puis d'aucuns me le confirmèrent et puis un jour il m'en fit la démonstration. Planqué entre les voitures, je le vis besogner tout un moment Anne, une jolie comptable trentenaire. Le bougre ne m'avait pas menti.
    
    Avec lui je découvris toute la ...
«1234...»