Catherine et les sortilèges - 1
Datte: 09/07/2021,
Catégories:
Humour
Masturbation
Inceste / Tabou
Auteur: Axelya, Source: xHamster
Beware the night before the dawn
Beware the dark when light is gone
For there's a phantom lust awake
Powerwolf,
Demons are a girl's best friend
Le mot le mieux à même de qualifier la vie sexuelle de Catherine, celui qui lui venait à l’esprit tout de suite en songeant aux délices de la passion amoureuse, ce mot était un adjectif et cet adjectif était, tout simplement et à son grand dam : catastrophique. A la longue suite de plans miteux où les dégonflés, minables avortons incapables de la faire jouir, éjaculateurs précoces et autres perturbés de la fesse prenaient la poudre d’escampette avant l’aube avait succédé une non moins longue période que l’on peut sans exagérer qualifier de traversée du désert. Catherine avait revu ses critères de sélection à la hausse, avec pour conséquence une disparition complète des prétendants. En d’autres termes, l’intensité de ses activités nocturnes donnait une assez bonne idée du néant. Les jours de disette s’étaient mués en semaines, les semaines en mois, si bien qu’elle fêtait ce jour-là le triste anniversaire de sa première année de célibat depuis bien longtemps. Ses copines se fichaient d’elle, arguant que si elle ne revoyait pas son niveau d’exigence à la baisse en matière de mâles, elle finirait célibataire.
Catherine en était là de ses réflexions quand elle se rendit compte que les yeux de son collègue Grégoire étaient rivés sur son décolleté, beaucoup plus plongeant qu’elle ne l’aurait voulu. Il devait même ...
... apercevoir un peu de dentelle noire du soutien-gorge. Catherine était plutôt svelte, voire même sportive, tout en arborant des formes assez rondes, bien localisées au niveau de la poitrine et des fesses. Grégoire ne manquait jamais l’occasion de lui faire ce qu’il pensait être un compliment à ce sujet, compliment suffisamment vulgaire pour qu’elle l’identifie à une insulte et envoie paître l’importun. Elle savait que son physique attirait ce genre d’individus et, précisément, cette attirance constituait une partie de son problème.
Elle lui jeta un regard réprobateur, par-dessus les lunettes. Il dit en souriant :
- Tu tapotes toujours ta lèvre inférieure avec ton stylo quand tu es pensive. C’est très sensuel.
Catherine posa le stylo en question avant de pousser un soupir :
- Si tu viens pour me parler d’un dossier tu es le bienvenu, dans le cas contraire, je n’ai pas envie de discuter avec toi.
Grégoire s’éloigna en ricanant, sans doute pour se livrer à sa principale activité au bureau, se vanter de ses exploits sexuels du week-end, fictifs ou non. Catherine passa le reste de l’après-midi à travailler, oubliant cet incident.
Le soir, en sortant du Metro, elle décida de faire un détour par un magasin d’antiquités proche de son domicile, magasin qu’elle savait ouvert jusqu’à dix-neuf heures. Elle pensait simplement jeter un œil sur la vitrine. Catherine avait développé un vice particulier : elle collectionnait les objets anciens, principalement d’Afrique centrale et ...