1. La petite stagiaire boulangère


    Datte: 06/07/2021, Catégories: Anal Hardcore, Masturbation Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... sentir plutôt bien en ma compagnie, dans la nature. Et elle aimait la bière, visiblement, car elle termina la sienne bien avant moi.
    
    Je n’avais plus très envie de marcher.
    
    Je lui ai dit :
    
    « Il y a un ruisseau, tout près de là, ça te dirait qu’on y aille pour tremper nos pieds ? »
    
    Elle a fait oui de la tête et on a coupé à travers la forêt.
    
    A l’approche du ruisseau, quand je lui ai demandé si ça ne la gênait pas d’avoir une relation avec un mec qui avait déjà une nana dans sa vie, elle m’a dit en souriant :
    
    « Non, je m’en fiche. »
    
    Je lui ai demandé l’âge qu’il avait et elle a répondu :
    
    « Trente-deux. »
    
    On a longé le ruisseau sur quelques mètres, puis j’ai posé mon sac à dos contre un rocher et on a enlevé nos chaussures. Laetitia est entrée dans l’eau tandis que je retroussais le bas de mon pantalon. Elle me tournait le dos et son cul me rappelait celui d’une nana qui s’appelait Laure, avec qui j’avais eu une brève histoire, il y avait au moins dix ans de ça. Il arrivait que je me branle en pensant à elle. A son cul.
    
    « Veux-tu te marier et avoir des enfants ? demandai-je à Laetitia tout en trempant mes pieds dans l’eau. »
    
    Elle répondit :
    
    « Bof. »
    
    Je lui retournai un sourire en disant :
    
    « Moi, je n’en ai jamais voulu, et je ne me suis jamais marié. Tout ça, c’est des entraves à la liberté. »
    
    « C’est quoi des entraves ? a-t-elle dit en me fixant des yeux. »
    
    « Des obstacles. »
    
    Elle a hoché la tête en disant :
    
    « Des entraves, ...
    ... d’accord. »
    
    Nus sommes restés dans l’eau pendant quelques minutes, puis j’ai ouvert deux autres bières sur la berge. Laetitia est alors venue s’asseoir près de moi, comme au bord du chemin, et nous avons de nouveau trinqué.
    
    J’ai laissé du silence s’écouler.
    
    Elle n’avait pas beaucoup de conversation.
    
    J’ai allumé une cigarette.
    
    Après l’avoir quittée devant l’épicerie et avant de l’attendre près de l’étang, je m’étais branlé en imaginant de quelle façon les choses pourraient tourner au cours des heures qui allaient suivre.
    
    On échangeait un regard et un sourire de temps en temps, entre deux gorgées de bière.
    
    J’aimais bien cet endroit.
    
    Il faisait un temps radieux. Nous étions fin juin.
    
    Et j’ai fini par me décider.
    
    Je lui ai dit :
    
    « Tu aimes te faire toucher ? »
    
    Elle a hoché la tête et ses grosses lèvres ont fait un grand sourire.
    
    Pendant la minute suivante, j’ai malaxé et soupesé son sein droit avec ma main gauche, en embrassant Laetitia sur la bouche, avec la langue.
    
    Ensuite, elle a ôté son t-shirt et j’ai ôté le mien.
    
    J’ai tripoté ses deux gros nichons par-dessus son soutien-gorge blanc en dentelles, puis je l’ai dégrafé. Ils pendaient. Ses tétons étaient mous et ses aréoles avaient le diamètre d’une petite tasse de café. Je les ai sucés pendant que Laetitia prenait mon gland dans sa bouche.
    
    Ensuite, d’un seul mouvement, j’ai enlevé mon pantalon et mon caleçon tandis que Laetitia baissait son short blanc, révélant une culotte de ...