La petite stagiaire boulangère
Datte: 06/07/2021,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Masturbation
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
La première fois que je la vis, elle venait de commencer son stage à la boulangerie du village. Elle portait une blouse règlementaire et un pendentif de pacotille pendait dans l’échancrure, sur sa peau assez claire. Je lui ai donné dix-huit ou dix-neuf ans et, à sa façon de me regarder fixement et de me dire bonjour monsieur, j’ai estimé qu’elle avait quelques « difficultés » et qu’il s’agissait d’un stage d’insertion. Je ne me suis pas trompé.
Elle avait les cheveux châtains mi-longs et des sourcils non épilés, une assez grosse bouche et un sourire vaguement naïf. Je lui ai demandé une demie baguette et, quand elle m’a tourné le dos pour la couper, j’ai constaté qu’elle avait une bonne paire de fesses, sans avoir un gros cul pour autant. Une bonne paire de nichons également.
Le lendemain, j’appris qu’elle s’appelait Laetitia et que son stage allait durer un mois. Elle était la nièce d’une dame que je connaissais de vue, et elle allait loger chez elle pendant cette durée.
J’avais connu deux Laetitia par le passé, dont une que j’avais sautée à l’arrière de ma voiture, à la sortie d’un concert de rock.
Dans le bar du village, j’appris ensuite que cette Laetitia-là présentait effectivement quelques troubles comportementaux, et que le boulanger s’était déjà plaint de sa lenteur et de sa façon de lui répondre.
Ça ne m’a pas effrayé.
Ça n’a pas non plus atténué mon envie de la croiser en dehors de la boulangerie pour essayer de papoter avec elle, discrètement. ...
... Ni mon envie de la sauter, éventuellement.
L’occasion s’est présentée huit jours plus tard, à la sortie du bureau de poste. J’étais au guichet quand elle est entrée, un papier à la main. On s’est salué et je me suis dit que, décidément, son étrange regard fixe me plaisait. J’ai réglé mon envoi et, une fois dehors, j’ai collé mon téléphone à mon oreille pour simuler une conversation, tout en tournant en rond devant le bureau de poste.
Quand Laetitia est apparue et qu’elle a refermé la porte, je l’ai laissé faire quelques mètres, puis je l’ai interpellée. J’avais un plan en tête, mais les chances restaient tout de même assez faibles qu’il fonctionne.
Qui ne tente rien n’a rien, dit-on.
Elle s’est retournée et je suis allé vers elle en disant :
« C’est jour de repos aujourd’hui… »
Elle a fait oui de la tête et j’ai continué :
« Comment se passe ton stage ? »
Ce même regard, puis ce sourire un peu niais :
« Ça va, j’aime bien. »
« Tu veux devenir boulangère ? dis-je en me mettant à marcher à ses côtés dans la rue qui allait vers la place du village. »
Elle a haussé une épaule et répondu :
« Je sais pas encore. »
« Moi, je suis écrivain, dis-je. Je travaille chez moi. »
« C’est chouette, dit-elle sans cesser de sourire. »
Ce matin-là, elle portait un jean qui confirmait qu’elle avait une bonne paire de fesses, bien rondes et fermes. Une chemise à petites fleurs mauves, un peu trop boutonnée à mon goût.
« Quel âge as-tu ? demandai-je. ...