La petite stagiaire boulangère
Datte: 06/07/2021,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Masturbation
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... »
« Dix-huit depuis dimanche, dit-elle fièrement. Et vous ? »
« Quarante-deux. »
« Comme ma mère, dit-elle en ralentissant le pas. »
« Où vas-tu maintenant ? »
« A l’épicerie, chercher du beurre, des carottes et des pommes de terre pour ma tante. »
« Et ensuite ? »
Elle haussa de nouveau l’épaule en disant :
« Ben je rentrerai. »
« Et cet après-midi, que fais-tu ? »
Je savais que tout allait se jouer dans les secondes qui suivaient. Je ne connaissais pas cette fille et elle ne savait pas grand-chose de moi. C’était la première fois qu’on discutait, en dehors de la boulangerie, et le risque était élevé que je me prenne un vent à ma prochaine question.
Elle m’a répondu :
« J’ai rien de prévu. »
J’ai hoché et je me suis jeté à l’eau :
« Je vais faire une randonnée dans une forêt, pas loin d’ici, ça te dirait de m’accompagner ? »
De nouveau ce mouvement d’épaule, et ce sourire, puis sa réponse, après quelques instants de réflexion :
« Pourquoi pas… »
Je n’ai pas dit qu’elle était simple d’esprit. Elle avait juste un petit grain dans sa tête, c’est tout. Je connais tellement de gens tout à fait intégrés qui possèdent un grain dans leur tête. Il y en a chez qui c’est visible, et d’autres qui savent le cacher.
Je suppose que moi-même j’ai un grain.
Par précaution et discrétion, j’ai proposé à Laetitia de passer la prendre en voiture à 14h au bord de l’étang communal. Il n’y aurait pas grand monde là-bas à cette ...
... heure-ci.
Elle arriva avec sept minutes de retard et monta dans ma voiture. Elle s’était changée entre temps. Elle avait mis un t-shirt gris chiné et un short blanc en tissu qui moulait son cul.
Je savais où j’allais l’emmener. Je connaissais bien cette forêt. Ce n’était pas un sentier balisé et le risque était faible d’y croiser quelqu’un. Car inutile de préciser que je n’avais pas envie qu’on sache que je me baladais dans la forêt avec la jeune stagiaire de la boulangerie. Les nouvelles vont vite dans les petits villages de campagne. Les rumeurs aussi.
J’ai garé la voiture au bord d’un chemin et on s’est mis à marcher, sans hâte, et à parler de la vie.
Après un kilomètre, j’ai dit à Laetitia :
« Une petite bière, ça te tente ? »
Etonnée, elle a fait oui de la tête, vigoureusement, et j’ai ouvert mon sac à dos dont j’ai sorti deux Leffe. On s’est ensuite assis sur un talus, puis on a trinqué. Elle avait de bonnes cuisses et d’assez jolies jambes.
Au cours de ce kilomètre parcouru, elle m’avait dit qu’elle n’avait pas vraiment de petit ami. Je lui avais demandé ce qu’elle entendait par « pas vraiment », et elle m’avait répondu qu’elle voyait un mec de temps en temps, mais qu’il avait déjà une nana.
Pour ma part, je lui avais expliqué que j’étais célibataire depuis quelques mois et que ça me convenait. Je pouvais vivre à mon rythme et voir qui je voulais, quand je le voulais, sans me poser de question.
Elle cessait rarement de sourire. Elle donnait l’air de se ...