Les Amazones - Épisode 3
Datte: 23/01/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
frousses,
neuneu,
entreseins,
facial,
Oral
fist,
fdanus,
fsodo,
historique,
historiqu,
Auteur: André 59, Source: Revebebe
... advenu d’Alvarez et du reste de nos compagnons.
— Vous pensez qu’elle nous comprendra ?
— Vous avez vu sa tignasse rousse ? Elle a certainement du sang irlandais ou écossais dans les veines. Nous avons beaucoup de mercenaires gaéliques dans nos armées. Je ne serais pas étonné qu’elle soit la fille ou la femme d’un de ces ruffians. Elle doit bien comprendre un peu de castillan.
Nous la portâmes, Ochoa et moi-même, avec précaution dans le bateau. Le brigantin disposait d’une minuscule cabine à l’arrière. Elle resta sous ma surveillance. J’avais trop peur que nos hommes lui fassent un mauvais parti. Blanche ou pas, elle avait certainement participé à la destruction de toute notre avant-garde, cent cinquante hommes étripés ou… disparus. Volatilisés. Sans compter les cavaliers tombés dans l’embuscade.
Nous l’avons déposée sur une sorte de mauvais lit de camp, encore inconsciente, et j’attendis à ses côtés qu’elle se réveille. Ochoa restait à l’extérieur, plus pour empêcher ses soldats de venir la violer que par souci de me protéger. Il nous faudrait au moins deux jours avant de retrouver les berges de notre camp de base, le temps risquait d’être long.
Les heures passèrent, monotones. Elle gémissait de temps en temps, mais restait inconsciente. Elle remuait beaucoup dans son sommeil, elle avait rejeté le drap qui la recouvrait et reposait sur le dos, jambes écartées, quasiment nue, si ce n’est son pagne qui laissait quasiment voir tout de son intimité. J’étouffais de ...
... chaleur sous ma cuirasse et j’entrepris de me débarrasser de mon armure et d’une partie de mes vêtements. Je jure devant Dieu que je n’avais aucune intention malhonnête. Du moins au départ.
Je la contemplais sans pouvoir m’empêcher d’admirer son corps. Peau dorée, pas une once de graisse superflue, muscles à fleur de peau, ventre plat et cuisses fuselées, poitrine ferme et galbée. Un corps fait pour l’amour et pour la guerre. Avait-elle un mari ? Des enfants ? Je parcourus du bout des doigts la rondeur d’une hanche, caressai la fine toison du pubis et le renflement des lèvres de son sexe. J’hésitais à introduire un doigt dans sa fente. J’avais la bouche sèche, le cœur battant. Seigneur, donne-moi la force !
Soudain elle ouvrit les yeux. Nous nous sommes regardés sans dire un mot. Elle se redressa sur un coude puis, à ma totale stupéfaction, se mit à quatre pattes sur le lit. Elle posa sa tête entre ses bras et attendit, reins creusés comme une chatte en chaleur, cuisses écartées. Elle se donnait. Sans un mot. J’avais la tête en feu. J’avais vu la mort de trop près. Le sang battait à mes tempes, mon membre devenait dur comme du bois. J’ai laissé choir mes chausses sans réfléchir à ce que je faisais. Je me suis agenouillé derrière elle. Toujours en silence, elle fit passer une main entre ses cuisses et j’ai senti ses doigts guider fermement ma queue vers la moiteur de son sexe. J’ai donné instinctivement un bon coup de reins et j’ai plongé en elle jusqu’à la garde. Elle ...