Sous les blouses des collègues. (1) - Histoires de Sexe

Sous les blouses des collègues. (1)

... collègues sont venues m’aider à pratiquement les mettre en grand écart. Quand j’ai vu Coralie attaquer avec des ciseaux, je n’étais pas très fière, j’avais peur qu’il y ait une petite bavure avec son instrument basique. Elle s’est servie de cet instrument pour égaliser tous les poils au niveau de la longueur puis ensuite. Une fois l’accès bien dégagé, elle a pu constater que le traitement qu’elle m’infligeait me faisait beaucoup d’effet. Pendant ce temps, je pouvais constater que mes collègues, en plus de sentir ma culotte maintenant elles étaient carrément en train de la lécher.

Désormais, quand mes collègues estimaient que ma culotte avait perdu du goût, elles allaient nettoyer mon minou avec, elles pouvaient ainsi à nouveau se délecter de ma cyprine. Je sentais les mains chaudes de mes collègues sur l’intérieur de mes cuisses et cela était en train de me chauffer. En plus de sentir les mains de mes collègues elles ont posé leur tête sur mes épaules. Leurs cheveux longs descendaient sur ma poitrine, seul mon soutien-gorge était encore là pour dissimuler l’excitation de la pointe de mes seins. Quand elle a déposé ses doigts sur mon clito, j’ai sursauté, mais en même temps j’ai soupiré avant de fermer les yeux de plaisir. Ça y est je venais d’entrer dans le club des infirmières de l’étage. Quand Coralie a glissé un doigt dans mon vagin, je n’ai pas pu me retenir de pousser un cri de plaisir, ma collègue me tenait par le plaisir. Désormais mon corps leur appartenait, quand ...

... Coralie est venue me voler un baiser, j’ai laissé rentrer sa langue dans ma bouche. Moi qui jusqu’à maintenant, m’étais limitée à embrasser des garçons, et je vais vous l’avouer, ils n’ont pas été nombreux, voilà qu’une femme était en train de m’échanger un baiser. À ma grande surprise, j’ai été très réceptive et maintenant c’est ma langue qui était partie visiter la bouche de Coralie.

Quand mon esthéticienne a constaté que j’étais sur le point de prendre mon pied, elle a décidé que c’était fini pour moi, je peux vous garantir que je suis restée sur ma faim.

«Aujourd’hui Sophie je t’ai mis l’eau à la bouche, j’attends que tu me le demandes. Au prochain coup, je suis sûre que c’est toi qui me demanderas que je te fasse jouir.»

Alors que Coralie avait cessé de me caresser l’entrejambe, mes deux collègues me tenaient toujours les cuisses écartées. C’est ce moment-là que Samantha a choisi pour venir s’agenouiller entre mes jambes, elle a déposé sa langue sur ma toison fraîchement taillée. Je peux vous garantir que ce jour-là, après le boulot, j’étais en train de vivre plein de premières, c’était la première fois qu’une femme m’embrassait, c’était la première fois qu’une femme me caressait mon intimité, c’était la première fois qu’une femme me faisait une langue. Pour toutes ces choses-là, je me suis laissée faire, j’étais consentante et j’en étais arrivée maintenant à en demander encore.

Je ne voyais pas ce que me faisait Samantha avec sa langue, mais en fermant les ...