1. Sous les blouses des collègues. (1)


    Datte: 30/06/2021, Catégories: Lesbienne Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... la plupart de mes collègues nues avant de se préparer à aller bosser, elles n’étaient vraiment pas pudiques, en même temps nous étions entre filles. La journée s’est bien passée et de nouveau dans le vestiaire, mes collègues se sont retrouvées nues, avec mon soutien-gorge, mon collant et ma culotte, je me sentais comme si j’avais une doudoune sur moi. Quelle ne fut pas ma stupéfaction quand j’ai constaté que trois d’entre elles commençaient à se tailler la toison pubienne. Mais le plus beau, c’est qu’une seule personne s’occupait de tailler la toison de deux de ses collègues. Quand elles m’ont vu les observer, Coralie m’a expliqué que cela revenait moins cher de se faire ça entre elles.
    
    Le plus troublant c’est que ces deux minous qui se faisaient tailler, étaient aussi luisants de mouille, manifestement les deux collègues avaient l’air de beaucoup apprécier la prestation de Coralie.
    
    « Ça a vraiment l’air de te troubler, que de me voir m’occuper de mes collègues.»
    
    En fait j’ai honte de le dire mais j’étais en train de constater que ma culotte à moi était aussi en train de mouiller.
    
    «Peut-être qu’un jour, quand tu me le demanderas, je m’occuperai de toi, tu verras c’est très agréable et en plus c’est gratuit.»
    
    Quand j’ai senti quelqu’un, dans mon dos, saisir mes épaules de façon très douce, j’ai eu l’impression de perdre les pédales. En fait c’était Samantha qui venait me rassurer, en me disant doucement à l’oreille que même elle, elle adorait que Coralie ...
    ... s’occupe de son buisson-ardent. Rapidement mon malaise s’est estompé au profit d’un bien-être, mais surtout de ma culotte qui était carrément en train de prendre l’eau. Heureusement que mes collègues ne s’en sont pas rendu compte, je n’ose imaginer la honte que j’aurais eue.
    
    Le plus beau c’est que les mains de Samantha étaient en train de se promener dans mon dos, mais aussi sur mes flancs, et c’est là que cela me faisait le plus d’effet. Elle n’avait pas besoin de me caresser les seins, ni mon entrejambe, pour que ce dernier prenne l’eau et ma poitrine se raffermisse. Quand elle s’est mise à me caresser les fesses, instinctivement ces dernières sont parties à la rencontre de ses attouchements. Moi qui jusqu’à maintenant étais une hétéro convaincue, j’étais en train de céder aux caresses de Samantha. Il n’y a pas à dire les journées dans la clinique se passaient très bien, mais surtout le plus agréable, je pense que c’étaient les after. Ma collègue avait maintenant posé son menton dans l’échancrure de mon cou et elle me disait des mots doux à l’oreille.
    
    « Tu verras Sophie, tu vas devenir une très bonne amie et nous allons devenir intimes avec toi.»
    
    Quand ses mains ont fini de me caresser les fesses, je les ai senties commencer à passer devant et c’est là que je les ai stoppées. Je n’allais quand même pas me laisser peloter ainsi devant toutes mes collègues, même si Samantha savait vraiment y faire.
    
    Je me suis légèrement écartée, et ma collègue est restée sur sa faim, il ...
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