1. Sous les blouses des collègues. (1)


    Datte: 30/06/2021, Catégories: Lesbienne Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... n’y a pas de doute, elle voulait aller plus loin. J’ai continué encore quelques instants à regarder Coralie s’occuper de la toison de mes collègues, j’étais consciente que cela ne me laissait pas indifférente. J’ai fini par me changer pour rentrer à la maison, mais le spectacle dans les vestiaires m’avait vraiment troublée, à tel point que je me demandais si je n’allais pas me caresser ce soir avant de m’endormir, en y pensant. J’ai mangé avec mes parents, nous avons regardé un film devant la télé, j’ai fait comme si de rien n’était avec eux, mais Samantha et Coralie me faisaient mouiller ma culotte dès que j’y pensais. Quand je suis rentrée dans ma chambre, j’ai été chercher un petit miroir pour regarder l’état de ma toison, je me suis dit que ce ne serait pas un luxe que Coralie la rafraîchit. Je n’irai pas jusqu’à dire qu’il fallait une cisaille, mais quand j’ai vu le travail qu’était capable d’effectuer Coralie sur les minous de mes collègues, je vais vous avouer que j’étais un peu jalouse. Bien évidemment ce soir-là je me suis endormie après m’être fait du bien en pensant à Samantha et Coralie.
    
    J’ai attaqué la journée du lendemain comme si de rien n’était, disons que je ne regardais plus mes collègues de la même façon. Ces dernières étaient soudées complices, quand on passait cinq minutes dans les vestiaires, on comprenait pourquoi. Quand j’ai fait la bise du matin à Samantha, j’ai eu l’impression qu’elle allait me rouler une pelle. Comme toutes mes collègues, ...
    ... Samantha était une grande et belle fille, avec tout ce qu’il faut là où il faut. À vrai dire, je n’avais pas une seule collègue qui fasse moins d’un mètre soixante-quinze, il n’y a pas de doute dans la société, le physique était un critère d’embauche. Plus je les regardais, et plus je me disais que la plupart devaient être bi, pour ne pas dire homo. En fin de compte, si cela aidait à avoir une bonne ambiance au boulot, et c’était le cas, il n’y avait pas de problème. Ce soir-là, après le boulot, comme d’habitude j’ai retrouvé mes collègues qui étaient limite à jouer à touche-pipi. Une fois de plus Coralie m’a proposé à ce qu’elle se charge de me tailler ma toison intime et je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai accepté l’offre.
    
    Voilà comment Coralie m’a fait asseoir sur le banc, mes collègues se sont toutes approchées de moi, pour assister à la taille de ma touffe. Elle m’a débarrassée de ma culotte et m’a fait écarter les jambes, cela n’avait pas l’air de la déranger de toucher mes poils pubiens, mais surtout d’effleurer mon clito qui ne demandait que ça. Là où je suis devenue toute rouge, c’est quand j’ai constaté que ma culotte était en train de tourner, que mes collègues étaient en train de sentir mon entrejambe pour leur plus grand plaisir me semblait-il. Toutes mes collègues avaient ma culotte sur le nez, à tour de rôle et elles me regardaient, il n’y avait pas du tout un côté moqueur ; je les sentais plutôt gourmandes. Vu que je n’écartais pas suffisamment les jambes, deux ...
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