Sous les blouses des collègues. (1) - Histoires de Sexe

Sous les blouses des collègues. (1)

... tenue sous la blouse et effectivement elles n’étaient pas bien vêtues voire pas du tout. C’est à cette occasion que j’ai aussi constaté que pour ce qui est de la pudeur entre collègues, il y avait encore du boulot. Quand elles m’ont montré leur tenue, j’ai pu découvrir porte-jarretelles pour certaines et carrément le minou pour d’autres, car elles ne portaient carrément pas de culotte.

Ce n’était pas la première fois de ma vie que je voyais des minous, car pendant ma scolarité post-bac entre élèves infirmières, nous n’avions pas beaucoup de secrets à ce niveau-là. Le plus dans cette clinique, c’est qu’elle était spécialisée dans la chirurgie plastique et qu’il n’y avait que très rarement des patients masculins. La plupart des clientes étaient de CSP plus plus, c’est-à-dire qu’elles étaient de milieu aisé, voire favorisé. Donc ce soir-là, au moment de partir, mes collègues m’ont expliqué qu’il serait mieux que je sois pour ainsi dire dévêtue sous ma blouse. Nous nous fîmes toutes la bise, avant de nous quitter, pour laisser la place à l’équipe du soir. Il y avait aussi une équipe de nuit, mais elles étaient moins nombreuses, compte tenu de la faible charge de travail, c’était surtout de la surveillance. Je suis rentrée chez mes parents, j’ai été bombardée de questions, pour savoir comment s’était passée cette première journée. Après mon rapport détaillé, ils étaient rassurés et avaient la sensation que le travail allait me plaire.

Encore tout excitée de ma première ...

... journée, je n’ai pas été longue à m’endormir, j’étais heureuse de constater que cette clinique avait une ambiance sympa au boulot. Le lendemain matin je suis repartie au boulot toujours la fleur entre les dents, j’étais heureuse d’avoir un job. Quand je suis arrivée au vestiaire, il y avait déjà toutes les collègues, c’est à ce moment-là qu’elles m’ont de nouveau invitée à me dévêtir sous ma blouse. J’ai fini par céder et c’est ainsi que je suis partie travailler ce jour-là, en soutien-gorge et culottes avec mon collant fendu. C’est vrai que finalement on avait carrément moins chaud sous la blouse, mais surtout on pouvait se mouvoir bien plus facilement. En même temps j’avais l’impression que cela pouvait m’aider à m’insérer dans l’équipe. Comme la veille, j’ai passé la journée à apprendre les petites habitudes et la fonction de chacun dans le service. À la fin de la journée comme d’habitude nous nous sommes retrouvées au vestiaire et les collègues se sont permis d’admirer mon corps qu’elles trouvaient vraiment magnifique.

«Ce serait vraiment du gâchis que d’enfermer un si beau corps dans des vêtements pour travailler.»

Bien évidemment venant de jolies femmes, le compliment m’est allé droit au cœur. Quand nous nous sommes quittées, je me sentais belle, je me sentais rassurée, je me sentais bien dans cette équipe. Vu que ce matin quand je suis arrivée, les filles étaient déjà là, le lendemain je suis arrivée un quart d’heure plus tôt. À ma grande surprise, j’ai pu surprendre ...