1. L'importun 9


    Datte: 16/05/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

    ... l’excès mes joues. J’ai écarté les mâchoires au maximum. J’ai ensuite été invitée à avaler le premier jus matinal du sucé. J’attendais un répit. En deux mots Sylvain m’a annoncé qu’ils allaient satisfaire mon fantasme, que j’allais avoir le bonheur d’une double pénétration telle que je l’avais souhaitée, mais en mieux vus les avantages de M’Balé Jo.
    
    Sylvain moins sollicité s’est couché sur le dos. Je lui ai tourné le dos, il a eu la bonté de forer sa place dans mon derrière, a empoigné mes seins pour me coucher de dos sur lui. Jo ne m’a pas fait languir, il s’est placé face à nous, s’est avancé et m’a prise. Ciel, il m’ouvrait le sexe au bord de la rupture, tant il était large et épais. J’ai crié de douleur. Ils ont ri , ils m’ont traitée de femelle douillette . Il était temps que j’apprenne les bonnes manières et que je sache exprimer ma reconnaissance envers des hommes qui s’évertuaient à me donner un maximum de plaisir. S’ensuivit une sorte de bousculade au bout de laquelle j’ai connu l’extase d’un formidable orgasme. Cette explosion de plaisir n’était pas feinte, elle fut suivie de fortes douleurs. Ils m’ont laissée couverte de sperme, m’ont enfermée.
    
    – Ne te ...
    ... plains pas, tu n’as reçu que ce que tu avais réclamé. C’est tout ?Ils sont en bas pour t’offrir une répétition. Les recevras-tu ?
    
    - Mais tu es malade ? Tu ne vas pas me donner en cadeau à ces deux obsédés ! Quatre fois en tout ils m’ont carambolée, doublement pénétrée, foutue à l’endroit et à l’envers, écartelée tronchée. Comment ai-je survécu à la double anale, après la déjà horrible et insupportable double vaginale ? J’avais hurlé, la main de Jo m’avait bâillonnée, je me suis évanouie. A mon réveil, j’étais seule. Ils n’avaient pas fermé les portes, tout était redevenu normal, les volets s’ouvraient. Au salon des bouteilles vides jonchaient le tapis et ses abords, dernier signe d’une présence humaine. J’ai regardé l’heure, il était six heures, le soleil se levait à l’est. On était lundi, tu n’étais plus là. La vie a repris son triste cours. Tu étais introuvable, je n’osais pas en parler, je pleurais à la maison, heureuse uniquement de la disparition de ces deux salauds. Ce matin j’ai été convoquée chez Gérard, tu sais le reste. Voilà, je suis une femme souillée, déshonorée. M’abandonneras-tu à ce vicieux Gérard ? Il te remerciera pour le cadeau. Me détestes-tu à ce point ? 
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